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Archives de Tag: Giuseppe Verdi

Une année de “travail pour tous”

23 mercredi Déc 2015

Posted by biscarrosse2012 in commentaires, les unes du portrait inconscient

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Étienne de la Boétie, Giuseppe Verdi, Lewis Carroll

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Mes chers lecteurs et lectrices,
à l’arrivée de Noël et du Nouvel An, je me compte parmi ceux qui n’aiment pas terriblement les fêtes commandées.
J’aime mieux le non-anniversaire de l’Alice de Lewis Carroll ainsi que le hasard d’une rencontre qui peut bien se produire lors d’un lundi de grisaille, même dans un endroit sans éclat ni importance.
J’aime revoir les amis, mais je désire surtout les rencontrer dans un bistrot ou aussi les croiser dans la rue, à l’improviste.
Je crains l’esclavage des rites. À l’exception, bien sûr, des bons plats — les « cappelletti in brodo » surtout —, devenus tellement rares ou coûteux. J’ai toujours accepté les invitations pendant les jours de Noël « obtorto collo », en raison des bonnes choses que je comptais trouver sur la table de mes hôtes.
Ou alors j’ai aimé certaines réunions du jour de l’an, qui restent sculptées dans ma mémoire, auxquelles je m’étais rendu d’un pas récalcitrant, hochant la tête, quitte à changer mes sentiments dès que j’en franchissais la porte. Comme les fins d’année chez Clara et Alvaro, dans leur microscopique appartement à La Storta, déjà rempli par un gigantesque piano à queue, où des multitudes de gens enthousiastes de la musique de Mozart et de la vie simple réussissaient à se tasser.
Je ne supporte pas les jeux de cartes ni les « jeux de société ». Mais dans certains labyrinthes de mon cerveau je peux trouver en un seul déclic ces quelques « inventions » qui me plaisaient, comme le « jeu du vocabulaire », ressemblant comme une goutte d’eau italienne aux jeux de mots « oulipiens », justifiés ou pas, qui s’inspirent à des règles qui demeurent un peu abstruses pour un parvenu de la langue française comme moi.
Voilà donc que je m’approche des jours consacrés à la bonté, à la solidarité et à l’amour avec un sentiment partagé, incrédule pour ne pas dire méfiant.
D’ailleurs, je suis prêt à m’unir idéalement, tout de suite, à une chaîne humaine planétaire se formant spontanément au nom de la “non-violence” et du “respect” entre les humains, avec l’attention particulière qu’on doit aux femmes, aux gens âgés et aux enfants.
Pour cela, je serai dorénavant disponible à interrompre mes élucubrations et mes petites fictions de blogueur frustré.
D’ailleurs, profitant de la fin de l’année et de ses inévitables bilans, j’ai déjà commencé à m’éloigner un peu de cet écran “croix et délice” (comme l’appellerait la Violetta de Giuseppe Verdi), de plus en plus totalitaire et ambigu.
Patience pour les statistiques ! Au diable le compte quotidien des “vues” ! Je préfère les “rues” et je vous y invite !

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Avec les mots incroyablement actuels du « DISCOURS DE LA SERVITUDE VOLONTAIRE » d’Étienne de la Boétie, que je viens d’extraire, pour ceux qui ne le connaissent pas,  ,

Je vous souhaite un
2016
sans alarmes ni larmes
avec un peu de neige,
mais sans aucun piège.

Une année constructive, citoyenne, attentive
avec un peu de saines ivresses,
mais sans l’ombre de détresse

Une année de “travail pour tous”
où l’amour aura toujours
le permis de séjour
.

Ciao, en dehors de fulgurations inattendues
— vos visites étant toujours les bienvenues

ICI

Dès le premier dimanche de l’année
2016
vous trouverez peut-être des articles
qui feront démarrer un nouveau cycle,
une façon inexplorée d’y être
dans cet univers de fête champêtre
où trouvera sa place quand même
l’envie d’échanger et de connaître
et cetera…

Giovanni Merloni

« Nous sommes ainsi faits que les devoirs communs de l’amitié absorbent une bonne part de notre vie. Il est raisonnable d’aimer la vertu, d’estimer les belles actions, d’être reconnaissants 
pour les bienfaits reçus, et de réduire souvent notre propre bien-être pour accroître l’honneur et l’avantage de ceux que nous aimons, et qui méritent d’être aimés. Si donc les habitants d’un pays trouvent parmi eux un de ces hommes rares qui leur ait donné des preuves d’une grande prévoyance pour les sauvegarder, d’une grande hardiesse pour les défendre, d’une grande prudence pour les gouverner ; s’ils s’habituent à la longue à lui obéir et à se fier à lui jusqu’à lui accorder une certaine suprématie, je ne sais s’il serait sage de l’enlever de là où il faisait bien pour le placer là où il pourra faire mal ; il semble, en effet, naturel d’avoir de la bonté pour celui qui nous a procuré du bien, et de ne pas en craindre un mal… »
« …… »
« Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l’élection du peuple, les autres par la force des armes, les derniers par succession de race. Ceux qui ont acquis le pouvoir par le droit de la guerre s’y comportent —
 on le sait et le dit fort justement comme en pays conquis. Ceux qui naissent rois, en général, ne
 sont guère meilleurs. Nés et nourris au sein de la tyrannie, ils sucent avec le lait le naturel du 
tyran et ils regardent les peuples qui leur sont soumis comme leurs serfs héréditaires. Selon leur penchant dominant — avares ou prodigues —, ils usent du royaume comme de leur héritage. Quant à celui qui tient son pouvoir du peuple, il semble qu’il devrait être plus supportable ; il le serait, je crois, si dès qu’il se voit élevé au-dessus de tous les autres, flatté par je ne sais quoi qu’on appelle grandeur, il décidait de n’en plus bouger. Il considère presque toujours la puissance que le peuple lui a léguée comme devant être transmise à ses enfants. Or dès que ceux-ci ont adapté cette opinion, il est étrange de voir combien ils surpassent en toutes sortes de vices, et même en cruautés, tous 
les autres tyrans. Ils ne trouvent pas meilleur moyen pour assurer leur nouvelle tyrannie que de renforcer la servitude et d’écarter si bien les idées de liberté de l’esprit de leurs sujets que, pour récent qu’en soit le souvenir, il s’efface bientôt de leur mémoire. Pour dire vrai, je vois bien entre ces tyrans quelques différences, mais de choix, je n’en vois pas : car s’ils arrivent au trône par des moyens divers, leur manière de règne est toujours à peu près la même. Ceux qui sont élus par le peuple le traitent comme un taureau à dompter, les conquérants comme leur proie, les successeurs comme un troupeau d’esclaves qui leur appartient par nature… »
Etienne de la Boétie, philosophe (1530-1563) « DISCOURS DE LA SERVITUDE VOLONTAIRE »

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Rien qu’un «guizzo», un «schizzo» et un «ghiribizzo». Quoi faire, alors ?

20 lundi Juil 2015

Posted by biscarrosse2012 in contes et récits

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Franz Kafka, Giacomo Leopardi, Gioacchino Rossini, Giuseppe Verdi, Marcel Proust, Nicolò Paganini, virginia woolf

001_grue 003 180 Rien qu’un «guizzo», un «schizzo» et un «ghiribizzo». Quoi faire, alors ?

Si j’avais les instruments adaptés et le temps nécessaire, je pourrais le démontrer, j’en suis sûr et certain : au cours d’une journée, du petit matin au soir, même en comptant certaines heures creuses et paresseuses de l’après-midi, chacun de nous n’a droit qu’à un seul « guizzo » (1), rien qu’à un seul microscopique éclat de génie. Il vaut mieux le savoir en avance, ayant bien sûr la présence d’esprit, au moment donné, pour sauter sur la croupe de la chimère journalière qui passe, si c’est vraiment elle qui passe, si ce n’est pas, au contraire, une de ses fausses copies.
Dans le cas heureux et unique, combien de temps durera-t-elle notre inspiration ? Quelles importances ou intensités pourrons-nous reconnaître à notre « schizzo » (2) ou au féminin, notre esquisse ? Quelle valeur nous sera reconnue pour que nous puissions nous accorder le « ghiribizzo » (3) ou la lubie, brève et fulgurante, de nous exprimer de façon abrupte et inattendue ?

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Chaque jour, nous avons droit au maximum à un seul guizzo et/ou schizzo et/ou ghiribizzo.
Je tire cette théorie, bien évidemment, de mon expérience directe. Cette chance de renaître chaque jour, avec une petite provision d’énergie, d’enthousiasme ou de colère juste, fait partie d’un cycle très humain et corporel, presque inexorable. D’ailleurs, cette faculté d’inventer un petit calembour, un slogan publicitaire, une boutade qui pourrait changer le monde, peut se traduire, au fur et à mesure, en quelque chose de plus solide… Il suffit de sommer calmement, jour après jour, les guizzi, les schizzi et les ghiribizzi. Avec le temps nos petites éruptions volcaniques quotidiennes pourraient donner la vie à un grand tableau, un triptyque, une fresque… Ou alors, elles pourraient suggérer à notre alter ego méthodique et planificateur les éléments-clés pour une reconstruction sincère et équilibrée de nos drames, de nos joies ainsi que de nos obsessions.
Bien sûr, les exceptions ne manquent pas. Par exemple la Cappella Sistina que Michel Ange a peinte relativement en peu de temps. Et bien sûr, la réalisation de certains tableaux peut être assez rapide, surtout s’il y a eu avant un travail intense et continu des années durant.
On connaît d’ailleurs par quel immense travail Giacomo Leopardi se consacra à son Zibaldone ou Marcel Proust à son Temps perdu… Leurs œuvres ont eu besoin de l’abri d’un temps de renfermement, prolongé jusqu’au désespoir, jusqu’à l’abnégation sinon à une sorte de suicide même…
Ou alors je m’interroge sur le rapport entre l’œuvre extemporanée d’un Nicolò Paganini — ou la création fulgurante d’un Gioacchino Rossini — et la lenteur pleine de prodiges de Giuseppe Verdi, par exemple. Il y a des génies au tempérament rapide sinon vertigineux, du moins pendant une phase de leur vie, tandis que d’autres ont besoin de mûrir longuement, en silence. Le même Rossini — dont on a écouté, bouche bée, une symphonie irrésistible de ses vingt ans telle la Gazza Ladra —, lors de son âge mûr, marqué par son installation à Paris, il perd un peu, apparemment, de cette insouciance qui le rendait auparavant capable de créer des chefs-d’œuvre tout comme s’il s’agissait d’improvisations…

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Mais voilà que je suis arrivé au point de cuisson désiré pour le pot au feu que j’aimerais offrir, comme le faisait Pierre-Auguste Renoir avec les siens, à mes amis peintres ou photographes ou poètes, habitués désormais à transférer sur les blogs qu’ils ont amoureusement créés leurs guizzi, schizzi et ghiribizzi quotidiens. Je suis arrivé donc à la conviction qu’il faut se sacrifier si l’on veut atteindre de vrais résultats dans le domaine de l’art tout comme dans celui de la littérature. On peut bien sûr lire, relire et commenter, aujourd’hui, le Journal de Kafka sur le web, se passionnant à la traduction originale de Laurent Margantin. On peut redécouvrir Virginia Woolf dans le français cohérent dont nous fait cadeau Christine Jeanney. Et cætera. Mais Franz Kafka ni Virginia Woolf ou Leopardi ou Proust n’auraient pas achevé leurs œuvres gigantesques en les publiant au jour le jour sur des blogs.
Bien sûr, Virginia écrivait des articles et Kafka avait l’obligation d’un travail « alimentaire » quotidien. Mais ils faisaient cela avec la main gauche et même à contrecœur, tellement vif était leur souci vis-à-vis du temps perdu, arraché à leur véritable existence de poètes…
Notre exploitation quotidienne pourrait bien sûr frôler par hasard des cimes très élevées, notre performance serait toujours éphémère et caduque. Quoi faire, alors ?
Tout simplement accepter que notre guizzo quotidien ne sera qu’une trace, sous forme de schizzo, pour une éventuelle élaboration successive, que nous devrions faire en cachette, ayant préalablement coupé tous les fils avec la réalité et ses petites vanités indispensables. Peut-être, nous n’aurons pas le temps, ni les énergies ou la concentration, au moment donné, pour transformer le canevas en scénario et le scénario en film. Nous pouvons bien sûr nous laisser bercer par l’illusion que quelqu’un d’autre, en dehors de nous, le fera après nous, quand nous serons disparus. Dans un tel état des choses, ne serait-ce alors mieux disparaître avant, le plus tôt que possible, en bonne santé, renonçant à quelques petites gloires quotidiennes pour essayer de laisser une trace un peu plus accomplie de notre passage ? Est-il tellement nécessaire, pour avancer, la reconnaissance que nous sollicitons de notre vivant avec autant d’acharnement ?
Nous sommes tous des êtres humains. Une âme sociable plus ou moins vivante en chacun de nous nous pousse à sortir, à bavarder, à discuter, à subir parfois l’influence des uns et des autres. Cette technologie dévoratrice nous offre d’ailleurs des merveilles virtuelles dont notre appetit ne peut plus se passer. S’il est vrai que notre vie est devenue de plus en plus anonyme et peut être aliénée… nous ne saurions plus disparaître du jour au lendemain sans ressentir cet acte comme un échec, un gigantesque pas en arrière, un retour à l’âge de la pierre.
Donc, on continue comme cela. En nous prenant, de temps en temps, le ghiribizzo d’écrire un poème qui demeurera un fragment, de raconter notre vie dans un journal fictif, constellé d’indispensables mensonges, de couper notre roman de mille pages en mille morceaux qui s’éloigneront de plus en plus de l’esprit originaire…

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Giovanni Merloni

(1) guizzo = bond insaisissable d’un animal ou d’une personne, toujours dans une direction inattendue, comme le ferait un poisson jaillissant de l’eau. Au sens figuré par « guizzo » on entend surtout un petit prodige, tout à fait inattendu, de l’intelligence humaine.
(2) schizzo = terme qu’en italien oscille entre l’éclaboussure et l’esquisse. Donc au sens figuré cela explique soit une attitude fort spontanée et parfois maladroite, soit le résultat d’une habileté manuelle expérimentée dans le dessin.
(3) ghiribizzo = c’est un caprice soudain, qui peut regarder n’importe quelle activité ou intérêt. Le «ghiribizzo » est souvent évoqué, au cours d’une conversation comme une sorte de revendication paradoxale. Par exemple : « Je me rends chez le coiffeur quand me saute dessus le « ghiribizzo », voire le caprice, de le faire ».

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