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Vivre la vie, tuer la mort

10 jeudi Nov 2016

Posted by biscarrosse2012 in les unes du portrait inconscient

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Charlie Chaplin, Donald Duck, Donald Trump, Frank Sinatra, Hillary Clinton, Jean-Luc Godard, Woody Allen

godard-vivre-sa-vie Jean-Luc Godard, Vivre la vie, image empruntée à un tweet de Laurence (@f_lebel)

Vivre la vie, tuer la mort

Je remercie Franck (@FrankDache) et Laurence (@f_lebel) d’avoir lancé, hier matin, dès que les résultats définitifs des élections américaines ont été confirmés, cette affiche sobre, élégante, à peine souriante, qui nous dit, avec le film de Godard, qu’il faut vivre la vie !
Je partage intimement le choix de cette image, parce qu’elle m’aide à réfléchir et, j’espère, à trouver des mots adaptés pour exprimer à mon tour mon état d’âme désemparé et inquiet, mais confiant aussi.

Dans le « quatrain quotidien » de ce même matin de cauchemar, pour tous les Européens qui ont aimé l’Amérique, Élisabeth Chamontin (@Souris_Verte) a tout synthétisé dans un alexandrin qu’on ne pourrait plus honnête et sincère :
« Donald Trump est élu et un monde s’effondre ».

En même temps, Dominique Hasselmann (@dhasselmann), dans son célèbre « Métronomique », écrit, avec son indomptable ironie :
« Pour la première fois une femme, Hillary Clinton est battue d’un cheveu par Donald Trump »

Quelqu’un d’autre a cité une phrase d‘Antonio Gramsci qui se révèle aujourd’hui d’une grande actualité :
« Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».

« Voir venir et ne pouvoir rien » dit avec franchise Brigitte Célérier (@brigetoun), tandis que Lucien Suel (@LucienSuel) propose un proverbe éloquent :
« Tant va la noix au marteau qu’à la fin elle se casse. »

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Woody Allen

Je ne veux pas répéter ce que d’autres ont dit si bien et je partage tout à fait. Car en France et en Europe on a en plusieurs le sentiment commun, je crois, que cet empire de l’argent se débat désormais comme un requin blessé et qu’il voudrait entraîner tout le monde, voire toute la planète, dans un jeu de massacre qui va de plus en plus ressemblant à une roulette rousse.

Cela dure désormais depuis une trentaine d’années, depuis que le petit mot « dérégulation » (« deregulation » sans aucun accent en anglo-américain) a commencé à circuler. L’Europe, avec ses différentes « vitesses » (ou « richesses »), en est l’exemple bigarré. Tandis que les États-Unis en sont le phare, avec la mortification des structures publiques (à commencer par les écoles) ; la modification des lois sur le travail, qui devient partout précaire et de plus en plus menacé ; l’abolition ou la privatisation de la solidarité sociale s’accompagnant à une progressive réduction des droits des citoyens.

Dans un système de plus en plus rigide et injuste, les riches sont de plus en plus exagérément riches tandis que les pauvres perdent toute dignité et marge pour la survie. Les classes moyennes, ne partageant pas, en général, les occasions d’enrichissement « facile », dépendent de salaires et retraites plus ou moins acceptables pour vivre dans une condition « privilégiée » qui demeure toutefois statique et, elle aussi, menacée.
Venant d’Italie et vivant en France, je me rends bien compte que ce procès de privatisation et de dérégulation a beaucoup avancé dans ces deux pays. Mais on est encore à moitié du gué. Heureusement. Nous pourrions encore, en Europe, envisager une façon moins suicidaire de nous aventurer dans le siècle.

Aux États-Unis, au contraire, on est déjà sur l’autre rive. La situation économique et sociale est déjà compromise. Donald Trump (1), comme naguère Silvio Berlusconi, en Italie, peut bien faire des promesses à ses associés. Mais il ne pourra rien faire pour un peuple qui va devenir de plus en plus pauvre et démuni de protection sociale. Voilà pourquoi je vois en cette élection le coup de queue du requin blessé, car le « système en crise » n’a pas choisi, pour se défendre, un homme ouvert, intelligent, prêt à se charger de la démocratie et du dialogue, mais, au contraire, un homme qui menace. Un « gagnant » qui ne semble avoir aucun scrupule de se servir d’armes propres et impropres pour tenir rassemblé un pays à la dérive autour…
Autour de quoi ?

J’espère vivement que l’Europe saura se soustraire aux dérives inquiétantes et débordantes de ce pays ami et aimé. Elle a déjà assez souffert pour ces « changements » dont on pouvait peut-être se passer. Elle est en train de payer un gigantesque tribut de travail et de sang pour les contradictions planétaires que ce système pourri amène par le biais d’une immigration sauvage et du terrorisme. Je confie dans l’Europe, avec la France au premier rang. On y fera valoir, sans doute, la force de l’intelligence pour faire des pas cohérents à nos valeurs et principes, à notre histoire, à nos extraordinaires richesses humaines, naturelles et culturelles.
Je suis là pour vivre la vie et pour tuer la mort.
Vivre la vie ce n’est pas faire comme les autruches, se cloîtrant dans l’égoïsme et dans la méfiance, mais, au contraire, c’est retrouver la joie de « vivre dans la vie » que nous est donnée par cette société merveilleuse qui survit malgré tout aux attaques de ses ennemis de toute sorte.

J’accepte de faire des sacrifices — d’ailleurs, cela a été toujours comme ça —, mais je me refuse de me faire imposer un modèle de vie tout à fait insensé au nom d’une richesse privée qui ne me regarde pas.
Jusqu’ici, en France et en Italie, renonçant bien sûr à beaucoup de choses, j’ai pu vivre en équilibre à partir de revenus très ordinaires.
En Amérique (et peut-être en Angleterre aussi), je ne pourrais pas survivre dans une grande ville, profitant comme ici des occasions culturelles et de loisir.
Là-bas, je ne pourrais pas faire gratuitement quelque chose pour le monde qui m’entoure ayant dépassé les années de travail. Je devrais travailler jusqu’au moment de la mort pour me payer les médicaments et l’assistance, ou alors je devrais me résigner à mourir pour manque de société.

C’est ça l’Amérique, malgré Obama, hélas ! Peut-être, Hillary Clinton aurait essayé de faire quelque chose pour rééquilibrer cette situation mortelle. Son élection nous aurait en tout cas laissé l’espoir en une réflexion, en un changement de route. Pendant quatre ans nous serons encore plus seuls qu’hier.

À partir de cette Europe « difficile », mais d’autant plus nécessaire, tout en profitant de sa sagesse millénaire, je suis sûr qu’ici on continuera à « tuer la mort », gardant tout entier cet esprit de tolérance et d’amour pour les autres qui nous a aidés par exemple à surmonter le terrible défi des attaques terroristes. Ce n’est pas avec les armes qu’on tue la mort ! Heureusement, nous avons encore l’intelligence pour ne pas accepter les provocations et pour ne pas nous faire embobiner. Et nous garderons toujours le sourire pour que la vie revienne !

Giovanni Merloni

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Walt Disney, Donald Duck (dessin de Romano Scarpa (1927-2005)

(1) Malheureusement, Donald Trump n’est pas qu’une couche de couleur sombre. Il n’est pas un « trompe-l’œil » non plus. Il n’a rien à voir, ni à rire avec Donald Duck. Et « trump » ce n’est pas le même que « tramp », mot qui revient à ma mémoire avec une fameuse chanson de Frank Sinatra s’adressant à une femme « vagabonde » qui évoque à son tour le « vagabond » par excellence, ce Charlie Chaplin qui a tellement donné à l’Amérique, à l’Europe et à l’humanité.

004_tempi-moderni4-1000x600-1Charlie Chaplin (Les temps modernes (1936)

Good bye, my London Town !

26 dimanche Juin 2016

Posted by biscarrosse2012 in les unes du portrait inconscient

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Alberto Sordi, Angleterre, Charlie Chaplin, Denis Diderot, Engels, France, Freud, Grèce, Jean Jacques Rousseau, Jean-Luc Mélenchon, John Lennon, Londres, Marx, Montaigne, Montesquieu, Paris, Royaune-Uni, virginia woolf, Voltaire, winston churchill

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Good bye, my London Town !

Attristé sinon consterné par cette abrupte fuite « à l’anglaise » d’un des Pays membres de l’Europe, n’étant pas un journaliste crédité, je ne peux que me borner à manifester mes perplexités ne faisant qu’un avec la conviction qu’encore une fois ce ne sont pas les peuples qui trahissent « égoïstement » leurs engagements.
Si l’Angleterre abandonne la barque européenne pour s’éclipser librement dans des océans reculés et lointains, ce n’est pas pour une question d’argent. D’ailleurs, tout en hébergeant soigneusement, à Londres, les nobles dépouilles de Marx et Engels, les Anglais sont les champions et les premières victimes d’un modèle de développement basé sur l’arrogance financière de l’argent, la « dérégulation » des garanties sociales, l’assaut sans scrupules à cette forme de l’État — la même qu’on avait bâtie dans les autres grands pays d’Europe et notamment en France — ayant réussi pendant des siècles à contenir le pouvoir excessif du capitalisme.
D’ailleurs, l’Angleterre n’a jamais voulu adhérer à la monnaie européenne. Donc, je ne trouve pas trop convaincant ce qu’affirme par exemple Jean-Luc Mélenchon, selon lequel l’Angleterre quitterait « l’Europe des riches ». Ou alors, ce qu’on dit ailleurs, à propos d’une Angleterre qui se sauverait en « corner » devant une Europe étranglée par les sacrifices de la monnaie unique et les attaques des oligarchies économiques mondiales qui voudraient l’écraser avant de la soumettre à une sorte de dictature dévastatrice.
Les hommes peuvent bien se tromper et devenir assez dangereux les uns envers les autres. Mais je suis sûr et certain que l’Angleterre — pour une différence de votes qui n’est pas énorme — a cédé à l’illusion de se soustraire à ce grand phénomène migratoire mondial que des actes de terrorisme ou de guerre accompagnent, touchant de préférence l’Europe, devenue de plus en plus la cible d’une attaque diabolique et perverse.
Je veux croire pourtant que les Anglais se sont trompés et qu’ils reviendront assez vite à l’Union européenne… Entre-temps, je songe à John Lennon ou à Winston Churchill, à Charlie Chaplin comme à Virginia Woolf. Auraient-ils été d’accord avec une telle reculade ? Et les survivants sont-ils en mesure d’évaluer la gravité de ce « choix » ?

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Alberto Sordi dans le film « Fumo di Londra » (1966)

Il y a juste dix ans, j’avais quitté Rome partant à Paris pour y continuer ma vie et mes activités. Cela arrivait — je m’en rends compte dans un sursaut — dans une époque encore optimiste, où l’idée fabuleuse de pouvoir circuler librement en Europe se mariait à l’espoir d’un rapprochement et d’une aide réciproque entre les pays de ce noble continent, dans le but commun de surmonter les diversités et avancer vers un monde meilleur.
Certes, le souvenir personnel d’un déplacement « privilégié » de l’Italie à la France pourrait paraître fort décalé vis-à-vis de ce qui arrive aujourd’hui, avec tous ces gens forcés à partir en masse en conditions dramatiques et parfois inhumaines, quittant leur pays en détresse ou en guerre dans le seul espoir de franchir une porte de plus en plus étroite, avant de trouver en Europe un accueil humain, un abri protégé qui ne sont pas toujours assurés.
Je n’ai pas traversé la mer sur un radeau de fortune. Je suis venu en France en deux heures de vol, certes avec les inévitables difficultés accompagnant tout déplacement, vivement soutenu, en tout cas, par un élan idéal, poussé par l’admiration d’un peuple et sa culture. Cependant, cette admiration pour l’une des villes les plus civilisées au monde, Paris, et mon désir de m’y installer, n’aurait pas pu se séparer de l’orgueil d’appartenir à un monde aux racines communes — l’Europe — ayant finalement compris que notre millénaire culture nous aiderait à nous intégrer réciproquement au fur et à mesure de l’évolution d’une conscience européenne partagée par tous les habitants de l’Europe même. 
Si la Grèce a été le berceau de la démocratie et de la libre pensée pour tous les hommes ; si l’Italie de la Renaissance a été justement un phare pour la constitution de l’identité européenne, Paris et la France représentent le centre propulseur et protecteur de cette identité même. Pas seulement parce qu’en France il y a eu une Révolution républicaine traînée par des figures incommensurables comme Voltaire et Rousseau, Montaigne et Montesquieu… L’histoire de la France, en originale continuité avec la longue et glorieuse parabole de la civilisation romaine, représente un exemple vivant de ce que les hommes peuvent faire au plus haut degré, puisant dans leurs immenses ressources d’intelligence et d’humanité.
L’histoire de l’Angleterre n’est pas trop différente, enchevêtrée comme elle l’est avec l’histoire d’Europe. Entre les villes de Londres et Paris — géographiquement si proches ; caractérisées par le même procès de croissance et de transformation au fil des siècles —, on constate toujours une rivalité positive, une concurrence à l’enseigne de la culture et de l’ouverture vers une civilisation de plus en plus accessible et partagée. Il n’y a pas eu que les guerres mondiales et l’Alliance atlantique qui ont fait de l’Angleterre l’un des premiers pays de l’Europe. Il y a aussi eu cette confrontation pacifique entre Londres et Paris, sans doute les plus grandes capitales d’Europe.
Pour un « provincial », comme moi, venant d’un pays historiquement divisé et donc incapable de se donner une vraie capitale, Londres et Paris ont été mes deux primordiaux repères psychologiques et culturels. « Que préférez-vous, Paris ou Londres ? » Voilà la question la plus récurrente chez nous…
Moi, je préfère Paris, mais j’ai bien aimé Londres, découvrant notamment dans la littérature anglaise un souffle d’excentricité qu’aucune culture ne possède au même niveau. Une excentricité dont l’Europe des voyageurs et des lecteurs a toujours besoin, se traduisant en fait en une différence parfois subtile, comme la « fumée de Londres » qui hante ses rues et qu’on appelle « smog »…
De cette fumée jaillit, pour moi, le souvenir d’un film avec Alberto Sordi. Ici, cet « insupportable enthousiaste » de tout ce qui est anglais ne sait pas comment se comporter dans une ville, Londres, beaucoup moins accueillante qu’il ne le supposait. Et, au bout de vicissitudes paradoxales, quand il est finalement « chassé » du Royaume-Uni et déposé sur la passerelle d’un avion, en regardant extasié dans le brouillard il s’exclame : « Good bye, my London Town ! »

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Les pays sont des personnes. Chaque pays a sa personnalité, donc ses mérites et ses défauts ainsi que ses hauts et ses bas, ses forces et ses faiblesses. L’Italie comme la France, la France comme la Grèce ou l’Angleterre. Chaque pays, comme toute personne, est soumis au risque de régresser, ou d’avancer en arrière comme les écrevisses, glissant dans une lente ou rapide décadence… Chaque pays a toujours besoin d’un chef de famille illuminé et responsable qui ait au moment donné la présence d’esprit nécessaire pour réagir aux maux de l’égoïsme et de l’impatience sauvage. Il ne faut pas être paresseux vis-à-vis de ce qui peut nous arriver.
Car il n’y a pas de raccourcis pour sauver le monde. Il n’y a qu’à se battre pour que notre univers reste en équilibre, pour que nos frères ou cousins plus démunis ne régressent pas et que nos cousins ou frères plus riches n’imposent pas des modèles et des lois injustes et destructives…

Être européens, ça veut dire :
Comprendre la différence entre les pays et les personnes sans que cela nous écrase ni ne nous rende sceptiques et indifférents.
Aimer jusqu’au bout ces pays qui souffrent d’assauts insupportables, où l’esprit de mort et la violence obtuse se mêlent toujours aux projets obscurs des oligarchies du pouvoir.
Défendre nos cultures universelles, les soustraire à l’oubli et à la mise aux marges pour les donner au monde : nous avons encore énormément à apprendre de Marx et de Freud, comme de Rousseau et Diderot !
Savoir dire de façon appropriée le mot amour, le mot amitié, le mot échange, le mot partage, le mot Europe, le mot Italie, Grèce, France, Angleterre, mer, montagnes, peuples frères, humanité !

Giovanni Merloni

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