le portrait inconscient

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Archives de Tag: Luna

Telle une première hirondelle (Luna, 1979)

30 lundi Nov 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Luna

hirondelle_trattata def

Giovanni Merloni, 1994_2013

Telle une première hirondelle (1979)

Telle une première hirondelle,
le train transporte, sans odeurs,
le justaucorps bleu de la nuit
dans l’air épuré de l’hiver.

Je me vois sautiller avec lui
suivant le grondement des paroles
emprisonnées dans l’étui
de ma gorge.

J’en entends
l’écho, croassant ou aigu,
sifflant ou aveugle :
le temps et moi,
nous nous faisons des infidélités
si cette constance est fille de la paresse
si cette paresse est sœur de la douleur
si cette douleur…

Rien ne va, rien ne reste,
lorsque le train se visse
en spirale, tel un graffiti de fumée,
dans un colimaçon de stuc
où les amas des situations perdues
se confondent en milliers de lueurs
de visions incohérentes
d’instants enthousiastes
de couleurs ardentes
de chagrins uniques.

Et je revois la chronique,
le scénario fragmentaire,
le mythe de mon passé haletant,
dont je ris, médusé
devant ce temps déchiré
où ma solitude se sauve
dans un costume élégant,
où mes misères déraillent
dans le rêve du néant.

Avec l’allure d’un ivrogne,
le train avance, taillant sans effort
le ballon de caoutchouc et d’eau
du futur.

Giovanni Merloni

De « Il treno della mente » (« Le train de l’esprit »), Edizioni dell’Oleandro, Rome 2000 —  ISBN 88-86600-77-1

TEXTE ORIGINAL EN ITALIEN  

Cette poésie est protégée par le ©Copyright, tout comme les autres documents (textes et images) publiés sur ce blog.

Je le sais, tu espères (Luna, 1977)

22 dimanche Nov 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Luna

IMG_3002 Je le sais, tu espères

Saint-André
déverse un brouillard rose
dans le miroir de tes bras.
Le ciel bleu, puis céleste
pâle comme une fresque
a dansé léger, sans corps
autour de la silhouette exquise
de cette coupole grise
dessinée et effacée
par la brume et le soleil.

Je le sais, tu es blonde, comme la vie.

Mais j’ai voyagé
me perdant au milieu
de collines opaques. Bologne,
tel un bout de chair vive,
roule encore parmi les échos
d’arcades en pénombre.

002_sant'andrea 001 180

Je le sais, je peux bien te parler,
m’appuyer à cette pierre
sachant que Rome est là,
devant mes yeux chéris par le vent,
ressuscitée et impunie.

Elle est ici, toujours vague,
insouciante de ses mille couleurs
de ses mille lumières
elle ne jette pas de fleurs
dans ma flaque de larmes.

Je le sais,
traversant ses rues sombres
mon coeur vide, égaré
trouvera ses décombres.

Je le sais, la terre et le temps
séparent les soucis et les rêves
comme des objets oubliés,
des statues ou des rues.

Je le sais, tu espères.

003_sant'andrea 002 180

Giovanni Merloni

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TEXTE EN ITALIEN

Tandis qu’un homme à l’usée salopette (Luna, 1977)

18 mercredi Nov 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Luna

le mie cose colorato_96

Sans aucune intention rhétorique, je dédie avec amour la poésie ci-dessous à tous ceux qui sont partis d’ici le 13 novembre dernier, sans penser nullement à la mort, n’ayant peut-être pas le temps de convier dans l’esprit leurs amis, leurs amours, leurs petites choses…

Tandis qu’un homme à l’usée salopette

Je m’attends à une danse sournoise
légère, angélique, en revanche visqueuse
des odeurs plus intimes.

Par courtoisie, mes dames, mes amis disparates
se rendraient sur les lieux de ma convocation
s’interrogeant douteux sur mes justes intentions :
est-ce qu’il entend nos pas en bas de sa maison ?

Si ce fait dont je rêve ne sera pas l’ultime,
le jour fatal de ma mort même, si tout s’écoulera
lors d’une après-midi violette et d’une brise sublime
et qu’un joli dessin de labyrinthes sans mystères
accueillera l’assaut de mes fertiles colères

si je pourrai encore aimer sans avarice
sans ambiguïté mes pauvres petites choses
cette fringale de la vie, en haut du précipice
grimpera, conquérant les châteaux, leurs délices,
s’effondrant dans la paix d’oasis silencieuses.

Lors d’un jour comme cela je me vois cultiver
attentif le jardin d’un amour vraisemblable
observant sans angoisse tous mes gestes affolés
mes fatigues, mes ardeurs

tandis qu’un homme à l’usée salopette
descendant du camion par un saut de jongleur
brisera la stupeur et le vide de la rue
déchargeant sur l’asphalte,
lentement, toutes mes choses.

Giovanni Merloni

De « Il treno della mente » (« Le train de l’esprit »), Edizioni dell’Oleandro, Rome 2000 —  ISBN 88-86600-77-1

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TEXTE ORIGINAL EN ITALIEN (« Le mie cose »)

Ce matin-là (Luna, 1977)

13 lundi Juil 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Luna

001_poesia extremis005 180 Ce matin-là

Dans la boîte de carton
aux rideaux roses,
une musique à la radio
brisait, somnolente,
l’élan magnanime de l’aube.

Dans la cour vide
aux fleurs déchirées,
mon humeur hésitait
désemparée
devant le miroir de notre étreinte.

Ce matin-là
qu’il était difficile
de lever la tête,
de serrer ta main,
d’engloutir le nœud gelé
d’un souffle sincère
nous acheminant
parmi les magnolias
et les petites fleurs célestes.

Ce matin-là
qu’il était difficile
d’accepter les chimères
de la vérité
me rendant au réverbère
de ton regard ambré.

Mais ce matin-là,
tu avais la terre entre les dents
et tes cheveux
n’étaient que les racines
d’un trajet interminable
depuis cette peine d’hérétique
jusqu’aux bruits lents
de la vie.

Giovanni Merloni

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J’étais (Luna, 1977)

12 dimanche Juil 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Luna

001_pantheon 180 J’étais

J’étais
un caillou roulé sur le goudron
un estomac dévoré par de joies
terribles, un corps
de carton-pâte ou de cire
déchiré par l’émoi soudain
d’une épreuve précoce.

J’étais
un épouvantail souillé
une œuvre pop déchirée
un album de famille vidé
de ses sourires.

J’étais
un costume inhabité
un geste engourdi
une ombre audacieuse
osant les labyrinthes et les échos.

J’étais
le hurlement de la mort
le silence de la mort
le hasard emprunté
sur une route
qui me tombait dessus.

J’étais
un geste héroïque
verrouillé dans un sombre
deux mètres pour deux.

002_caravaggio 180

J’étais
l’odeur sublime
de mes spermatozoïdes
morts par millions.

J’étais
un mot précurseur
gardé à vue
par de phrases faites.

J’étais
un souffle entre parenthèses
qui n’ouvrait pas de portes
aux joyeuses hypothèses
qui ne refermait pas non plus
le cheval fou de la vie.

J’étais
une torture subie
un indomptable sentiment
de culpabilité et d’espérance.

J’étais
un alibi rédigé en quatre copies
un dossier envoyé par la poste
aux parents, aux rides
aux cheveux gris
à la maison au sommet du lierre
aux persiennes cassées.

J’étais
un dessin
aux couleurs effacées
un baiser sans lèvres
une langue renfermée
sous en amas de pierre.

003_boulangerie 180

Je suis
les yeux dans les choses
la terre coagulée
le sang et la salive
d’une mort bénéfique
qui a raidi la mémoire
l’élégie du nécrologe fleuri.

Je suis
l’explosion de l’amour
les beaux jours
révélateurs des contrariétés.

Je suis
un corps ressuscité
au milieu des décombres.

Je suis
l’estomac
oubliant ses blessures
ses effrayantes douleurs.

Je suis
le regard imperturbable
devant les dessins
que la destinée trace
sur mon horizon de mouches :
d’abord le brouillard
ensuite le ciel gris
enfin le bleu de la nuit.

Je suis
une aube endolorie
et pourtant sereine
donnant de coups de pied
de joie et de peine
au milieu des feuilles mouillées.

004_mairie Xe 180

Giovanni Merloni

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Cet été qui n’arrive jamais (Luna, 1977)

01 mercredi Juil 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Luna

001_balançoire 001 180Cet été qui n’arrive jamais

Me rendant auprès du quai,
cet été qui n’arrive jamais
je ne cesse de rêver
aux corps violets des nuages,
à leurs souffles forts et légers,
combattants tels des béliers
dans le palais de mon voyage.

M’effondrant dans la misère
d’une journée de fainéantise
je me perds dans le mystère
de toi debout ou assise
de toi accourant jusqu’ici,
de ton sourire chéri,
de tes volètements,
de mes désirs ardents…

Chaque instant me renvoie
quelques couleurs de toi
tandis que le ciel sans émoi
sans visible effroi s’abandonne
à la loi des couchants
qui déchirent, époustouflants,
la chanson que fredonne
ta bouche s’éloignant.

Chacun de tes gestes m’afflige
et m’écrase. Je me rends sans litiges
avant que tu poses ta valise.

Attendant sur mon quai en ruine
le beau train qui n’arrive jamais
j’apprends à hurler. Je dessine
— ô pénible prudence ! —
les péripéties de l’absence
sans fuir le monde ni moi-même,
gardien soucieux et jaloux
du centre victorieux et vaincu
de cet amour, le jour bien fichu
de son baptême.

Giovanni Merloni

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TEXTE EN ITALIEN

À tâtons (Luna, 1977)

29 lundi Juin 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Luna

002_Retour à Rome001 180

À tâtons

Tandis que par ta seule présence
tu mets en pièces
mon ancestral manque de sens
tandis que, sans poison,
tu me transformes,
ma vie avance à tâtons
par le seul héroïsme de hurler
traversant en un souffle
la tâche violette de la mer
automnale.

Tandis que tu caresses
les tendons crevés
de nos courses spasmodiques
nous nous cherchons
l’un l’autre
à tâtons
tout comme nous avons cherché
longuement,
tous seuls
à tâtons
le bout de l’obscurité.

Tandis que tu arrêtes le temps
enveloppant dans un nuage
les échos
de nos va-et-vient frénétiques,
nous nous effleurons
l’un l’autre
avec de fleurs incandescents
avec de mots indolents
tout comme nous avons effleuré
à tâtons
tous seuls
longuement
silencieusement
la vie, la mort
les histoires à nous
les histoires des autres…

Giovanni Merloni

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TEXTE EN ITALIEN

Retour à Rome (Luna, 1977)

28 dimanche Juin 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Luna

001_Retour à Rome002 180
Retour à Rome (1977)

Rome est la somnolence,
remplie de plis
de portes fermées
de plantes grasses
de sables
que tes mains remuent.

Rome est la stupeur
de cette force qui me catapulte
dans tes bras, au milieu
des ombres chinoises
de nos gestes inconnus.

Rome est la vérité
de tes cheveux ébouriffés
de mes bras abandonnés.

Rome est la parenthèse
de tes mots précipiteux
de mes lents soliloques.

Rome est mon regard
qui poursuit au long des parois
nos silhouettes, en quête
de leur inexplicable musique.

Rome est le petit effarement
de t’aimer,
l’espoir d’une vie nouvelle,
la certitude d’avoir ravi
au passage
l’ombre paresseuse et distraite
du bonheur.

Giovanni Merloni

TEXTE EN ITALIEN

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Je ne suis plus seul (Luna, 1977)

24 mercredi Juin 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Luna

001_je ne suis pas seul 001 180
Je ne suis plus seul

Souriant, tu sais comment ouvrir
le coffre-fort de ma poitrine,
cet étal sans vitrine,
ce livre sans figures,
ce lit sans couverture,
ce village sans pages,
cette chanson sans titre.

Serrant tes lèvres
tu sais comment enlever le fatras
des microfilms,
des pistes de mots,
le serpent de gomme
de mes sièges aveugles, à tâtons,
au sous-sol de la vie.

Fermant tes yeux
tu sais comment jeter
aux orties
le corps décomposé
d’une sirène meurtrie
aux yeux blues et violets
aux gestes compulsifs
aux mots téléphonés
aux caresses brisées.

Ouvrant tes yeux
tu sais comment effacer
les sentiers nuageux
de mes labyrinthes,
comment me convier
à tes étreintes liquides
caressées par le soleil.

Par un geste invisible,
tu sais comment redonner
à mes pas
la fougue rageuse
d’un rythme assuré
tu sais comment laisser bondir
nos voix
telles des lentes espérances
au dehors de nos bouches.

002_je ne suis pas seul aph 002 180

Souriant,
serrant les dents
renonçant à fuir, résistant
les yeux fermés,
les yeux ouverts,
tu sais comment
libérer mes gestes
des enchevêtrements idiots,
des pièges et des béquilles
de traversées stériles,
où je me dérobais aux rêves,
en recouvrant d’ombres
ma spasmodique envie
de lumière.

Je ne suis plus seul.

Giovanni Merloni

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Une poésie raisonnée pour Jim, Jules et Catherine (Luna, 1977)

22 lundi Juin 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Luna

001_jim jules et catherine colorés 180 Une poésie raisonnée pour Jim, Jules et Catherine (1)

Leur chanson
n’est triste et douloureuse que pour nous.

(Jim)
Ce jeune homme dont les mots
sont l’unique richesse
ne voit pas du charisme
dans ses gestes élégants
traversant comme un séisme
de lumière et fumée
son regard offusqué
ses propos inconstants.
Ô combien de beautés
se coalisent, exquises
pour tromper ses idées !
Ce serait impossible
pour quiconque débusquer
dans son air inspiré
l’insouciance infaillible
d’une action juste et vraie,
car ses yeux malmenés,
voltigeant désinvoltes,
vont ailleurs, préférant
s’essouffler avec le vent
sur les cimes des feuilles !

(Jules)
On dirait de l’autre homme
un grégaire,
un bon voisin, un infirmier
dépourvu
de passions opiniâtres
qu’un seul regard écrase
qu’une seule fleur assomme.
Accompli comme un traité
d’horlogerie, il se juge brisé
comme une symphonie inachevée.
Il suffit à lui-même,
et pourtant il est triste,
comme une île aux oiseaux
que ne lèchent pas,
à l’aller ni au retour,
les routes écumeuses et soyeuses de l’amour.

001_panthéon 180

(Catherine)
La femme qui hurle la vie
est sans défense, la dernière de la classe,
mais elle est belle, telle une statue
ressuscitée.
Elle ressemble à l’eau pétillante de la nuit
au feu sporadique du petit matin.

(Jim, Jules et Catherine)
Pour ces trois héros ou figurants
la vie n’est pas faite de petites choses,
leurs propos sont incohérents,
leurs errances affolées.
Si pour eux la vie court,
inexorable, vers la mort,
la mort n’ajoute pas les couleurs de la poésie
à leur impitoyable folie.

Et pourtant leur chanson douloureuse et triste
nous concerne tous
du premier jusqu’au dernier de la liste.

002_pantheon 180

Giovanni Merloni

(1) Il s’agit, évidemment, de Jules et Jim de François Truffaut (1962).

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