le portrait inconscient

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Archives de Tag: Noëlle Rollet

Mon premier bouquin français

10 jeudi Sep 2015

Posted by biscarrosse2012 in mon travail d'écrivain, poèmes

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Angèle Casanova, Avant l'amour, Ève de Laudec, Brigitte Célérier, Claire Dutrey, Claudine Sales, Elisabeth Chamontin, Florence Zissis, François Bonneau, Françoise Gérard, Hélène Verdier, Hervé Lemonnier, Jocelyne Turgis, José Defrançois, Marie-Christine Grimard, Marie-Noëlle Bertrand, Nicole Peter, Noël Bernard, Noëlle Rollet, Serge Marcel Roche, Vital Heurtebize

Il m’est arrivée par la poste, juste hier, 9 septembre, le jour de l’anniversaire de ma fille cadette, un joli colis contenant quelques copies de mon premier bouquin français : « Poèmes d’avant l’amour », publié par les Editions des Poètes français. Je suis bien conscient de ce que cela signifie. En même temps, je suis tranquille, confiant, heureux de pouvoir transmettre quelques miettes d’un trop long discours.

Giovanni Merloni

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Les deux lunes (Vers un atelier de réécriture poétique n. 8)

13 vendredi Fév 2015

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Atelier de réécriture poétique, Noëlle Rollet

foto finestra verde

Rome, photo de Giorgio Muratore, da Archiwatch

Les deux lunes (Vers un atelier de réécriture poétique n. 8)

139_Les deux lunes (Avant l’amour n. 8)

Deux ombres chinoises
Aujourd’hui, en vous présentant mon huitième échange au sujet d’une des poésies de ma jeunesse, je n’avais pas envie de fouiller encore dans le terrain inépuisable et marécageux de la réécriture pour en mettre en valeur la positivité ou alors pour en découvrir les côtés pervers…
D’ailleurs, tout le monde le sait. La liberté d’expression, tout comme la liberté tout court, se paye avec la solitude, la marginalité et parfois la mort, comme nous avons dû le constater il y a un mois à Paris. Il faut accepter cette condition du sacrifice extrême, si l’on veut créer quelque chose qui nous appartienne. Avancer sans bénédictions ni soutiens et surtout sans demander des conseils !
Comme j’ai plusieurs fois déclaré, avec cette petite invention que j’ai baptisée un peu à la hâte « atelier de réécriture », je n’avais pas vraiment envisagé d’aller au-delà d’une vérification lexicale, grammaticale ou syntactique de mon français littéraire, encore boitant sur sa « chaussée déformée ».
Mais, comment faire si quelqu’un nous suggère ou pour tout dire nous fait cadeau d’un mot ou d’une expression que nous n’avions pas prévu d’écrire et qu’en tout cas nous n’avions pas écrite ?
Cela peut arriver en tout les domaines.

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En 1983, par exemple, j’avais presque terminé l’un de mes tableaux les plus « célèbres » : une table avec six personnes assises avec nonchalance, à la fin du repas, dans la cour d’une « trattoria » napolitaine entourée d’architectures suspendues dans les nuages. En dehors des gens assis, deux enfants tourmentent une grappe de raisin tandis qu’une servante et un garçon aux cheveux noirs, les bras soulevés en l’air, servent de façon solennelle… Mais l’assiette du garçon était vide… Vous voyez, quand je me trouvai à ce passage du plat « inachevé », placé juste au centre de la scène représentée, je ne savais vraiment quoi faire. Saisi par une sorte de timidité ancestrale et tout à fait dépourvue de logique, j’avais peut-être peur d’abîmer le tableau qui me semblait abouti et donc fragile… Ce fut Claudia, ma femme, qui prit le courage à deux mains et, par une surprenante rapidité, ajouta un poisson. Ce fut l’unique fois de ma vie que j’accordai le droit à quelqu’un d’appuyer le pinceau sur une de mes « créatures ». Mais je n’avais pas le choix. À défaut de cette intervention « stratégique », le plat serait resté vide. Avec le temps (trente-deux ans après), je veux croire aux facultés prémonitoires de ma femme, qui n’avait pas accepté de voir se terminer comme ça ce dîner de psychodrame. Les deux traiteurs, selon elle, ou pour mieux dire selon son « inconscient » avaient fait leur apparition juste pour dire : « ce mariage ne peut pas se faire, nous connaissons une raison pour laquelle il ne serait pas valide »…
Après cela, je n’ai plus ressenti comme un « vulnus » ni comme une honte l’éventuelle intrusion d’autres mains et d’autres têtes à l’intérieur d’un tableau, ou d’une phrase que j’avais conçue de A à Z et je maîtrisais tout à fait.
Il suffit de penser à Rubens, à Titien, à Raphaël pour se rendre compte du caractère toujours aléatoire de la propriété intellectuelle. Tous les artistes ne sont pas comme Michel Ange ! Et combien de peintres ou poètes, au contraire, sont complètement dépourvus de scrupules et copient les formes et les idées sans vergogne comme le faisaient entre autres Picasso et D’Annunzio !
Moi je ne copie jamais et je n’aime pas qu’on me copie. Mais, tout en gardant les yeux ouverts, on ne doit pas tomber dans la névrose pour cela.
Donc, lorsque Noëlle Rollet — au milieu d’une série de conseils discrets et tout à fait respectueux du rythme, des nuances et du sens de ma poésie — a glissé, à titre de provocation ou d’exemple, l’expression « ombres chinoises », je me suis tout de suite emparé de cette expression en l’intégrant dans mon texte.
Lors de ma rencontre amicale avec elle — chez « La Patache », rue de Lancry, à deux pas du pont tournant du canal Saint-Martin —, il y avait eu, au milieu de nos multiples discours, l’incursion d’un vendeur ambulant avec un bouquet de fleurs que j’avais refusé. En cueillant la fleur que Noëlle m’a successivement offerte avec ses « ombres chinoises », je n’ai fait qu’aggraver ma dette, comme la Grèce envers la redoutable Banque européenne. Mais cela fera déclencher en Noëlle, j’espère, ainsi qu’en moi-même, la petite satisfaction d’avoir brisé, pour une fois, un tabou.
Comme le poisson au centre du tableau de 1983, les ombres chinoises au centre de la poésie rebelle de 2015 auront peut-être donné à ma poésie une touche essentielle ajoutant à sa « force vitale ».
Le hasard a d’ailleurs voulu…
Noëlle Rollet — que j’estime vivement pour ce qu’elle écrit sur son blog sur le vaste thème intime du train et aussi pour son généreux engagement dans la « dissémination » de « webasso », l’association créée par Laurent Margantin — a à peu près le même âge et le même caractère fier et positif de Anna Buonvino, un de mes personnages chéris…
Or, par hasard, la poésie ci-dessous parle de « deux lunes » et d’un mur. Ici, un jeune homme téméraire semble passer son temps à califourchon sur un mur qui tient debout tout seul. Il dialogue avec la lune. Mais aussi avec une femme-lune en chair et os. Enveloppées par la lumière pâle que la vraie lune projette, les deux figures fabriquées par la fantaisie solitaire du jeune homme se détachent comme des « ombres chinoises » contre ce mur précurseur (d’un plus confortable abri…).

Giovanni Merloni

Des affinités derrière les mots : un cosaque hollandais à Paris

12 samedi Juil 2014

Posted by biscarrosse2012 in échanges, contes et récits

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Brigitte Célérier, Hollande, Jan Doets, la haye, Noëlle Rollet

000a_le cosaque 180 Des affinités derrière les mots : un cosaque hollandais à Paris

On dit toujours que la réalité est beaucoup plus fantaisiste que la plus improbable et hyperbolique des fictions. Cette affirmation est devenue tellement banale, comme la réalité qui nous entoure d’ailleurs, que nous nous accoutumons à tout. Nous ne nous émerveillons de rien, presque. Dans notre quotidien, la révolution informatique a sans doute contribué au bouleversement du monde du travail ainsi qu’à la crise de l’ancien système de la solidarité sociale, en exaltant un individualisme de plus en plus renfermé dans l’inconscience de son objective fragilité. Et pourtant la révolution informatique a produit le phénomène d’Internet… Bien sûr, nous sommes contrôlés… même nos photos sont classées automatiquement en relation au lieu où nous avons eu la brève illusion d’un déclic… Nous sommes contrôlés et gâtés en même temps, par quelqu’un que nous ne voyons pas… On n’est pas vraiment (ou pas encore) dans un « Truman show ». Mais on ressent l’haleine lourde de quelques inconnus passant leur temps à nous dire « Bravo ! », lorsqu’un article de notre blog a été « aimé », ou bien pour nous signifier que nous avons été choisis pour une vacance-arnaque à l’île de Pâques…
Dans cette f-loterie que notre vie est devenue, il me semble que l’immense et redoutable engin de Twitter soit le mal mineur, moins dangereux de l’alcool et des cigarettes, en tout cas. Au premier stade, c’est une grande route où nos voitures se glissent comme dans le courant d’un grand fleuve. « Little boxes », aurait dit Pete Seeger. Des doublons de nous-mêmes, des avatars, comme on dit dans le nouveau langage, qui se cachent derrière un gracieux masque, en plus d’une parole d’ordre…
Au deuxième stade, la route-fleuve se transforme en couloir. Un couloir désert ou fort animé, longeant des chambres grandes ou petites… Je fréquente depuis deux ans désormais le couloir francophone. Là-dedans, j’ai rencontré plusieurs… interlocuteurs. Pour la plupart, je ne connaissais, à l’origine, que des noms très charmants, accompagnés par une arobase, comme @leventquisouffl, @Souris_Verte, @Chemintournant, @athanorster, @tamponencreur77, @MemoireSilence et cetera. Les noms de blogs étaient aussi très originaux : l’irrégulier, métronomiques, paumée…
Heureusement, si le diabolique système de camouflage informatique adopté « protège » la vie privée de chacun, Twitter n’empêche pas les gens de dialoguer et d’échanger des informations plus personnelles…
Certaines initiatives — par exemple les vases communicants — ont créé sans doute un système d’échange qui va au-delà de la libre constitution de rapports d’amitié.
Et dans notre couloir francophone, on se connaît, désormais. La publication périodique sur le blog, accompagnée par une présence suffisamment active à la vie quotidienne de Twitter, crée dans l’ensemble une attitude générale à la discussion, au commentaire, à la prise de position, ainsi qu’à des épisodes d’entraide entre blogueurs ayant des affinités ou des courants d’estime réciproque. C’est notre « village local » — plus ou moins intégré dans le tristement célèbre « village global » —, où la présence de certains personnages est devenue petit à petit indispensable, tout comme celle d’un clocher ou d’un donjon dans un village en pierres et bois.
Pourtant la plupart d’entre nous ne se connaissent pas encore. Tout cela, évidemment, peut offrir plusieurs suggestions à la fantaisie de la myriade de flâneurs de l’écriture et de l’art qui constellent ce petit firmament francophone. Mais comment éviter de constater qu’en même temps une semblable pauvreté de connaissances directes va s’installer aussi de façon endémique dans les endroits physiques de notre vie quotidienne ? Comment négliger l’existence d’un moteur primordial dans notre choix de nous exprimer à travers un blog et de rechercher aussi un contexte de confrontation à travers Twitter ?

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La plupart de nous ne font cela que pour dialoguer sur la base d’une affinité — culturelle, esthétique et (pourquoi pas ?) politique — avec d’autres comme nous… Et voilà que cette « pulsion » spontanée individuelle se révèle petit à petit une véritable force.
Je disais, au commencement, que la réalité dépasse la fantaisie, en engendrant surtout de mauvaises fictions ou de films à éviter soigneusement. Il se peut d’ailleurs que la réalité assume une allure joyeuse, où l’inattendu garde l’apparence et le style d’une humanité positive et ouverte.
Depuis une année, presque entièrement vouée à son obsession majeure — l’histoire des péripéties et des douleurs de Moussia, de ses deux maris et de sa fille Natasha —, mon ami hollandais Jan Doets a décidé, il y a juste un an, de se consacrer à une initiative collective assez extraordinaire, qui a obtenu un succès indéniable dans notre milieu. Le principal atout de son nouveau blog « Les cosaques des frontières » — une possible forme de petite maison d’édition numérique aux portes ouvertes — consiste dans la convivialité et dans la liberté absolue. Chacun est responsable de ce qu’il écrit et c’est tout. D’ailleurs, dans l’initiative de Jan Doets il y a ce trait d’union de la « diversité cosaque » énoncée plusieurs fois, même si de façon légère et insouciante. Cela doit signifier quelque chose dont j’aimerais un jour pénétrer la plus profonde signification.

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En rencontrant à Paris Jan Doets pour la deuxième fois, je n’ai pas trouvé immédiatement la réponse à cette dernière question. Nous en avons longuement parlé le 8 juillet dernier dans l’agréable soirée au « Petit Villiers », passée en compagnie de sa charmante compagne Hannelore ainsi que de ma femme Claudia, de Béatrice Bablon et de Noëlle Rollet.
Béatrice est la libraire « de A à Z » qui depuis des années alimente avec ses bouquins rares et importants la collection de textes français dont Jan Doets est justement très orgueilleux.
Noëlle est une blogueuse — au nom de bataille (@selenacht = nuit de lune) très envoûtant — qui a récemment consacré, dans son blog, un très intéressant article-interview à l’expérience des « cosaques des frontières » de Jan Doets.

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J’ai abordé le même sujet de la « vocation cosaque » le lendemain (9 juillet), lors de la visite à la collection italienne du Louvre avec Jan, Hannelore et Paolo Merloni dans le rôle de guide.

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Ensuite, dans la confortable ambiance des « Deux Magots », le débat a continué sans nous empêcher de grignoter une salade tout en jetant un coup d’œil sûr l’église de Saint-Germain des prés. Juste pour nous rappeler que deux Hollandais et deux Italiens garderont toujours leur enthousiasme de touristes à chaque immersion dans la forêt pluviale qu’on appelle Paris.

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Et finalement, quand Jan Doets a voulu essayer la taille du chapeau colonial du grand-père de Claudia, officier de marine mort tragiquement dans la mer Égée après le 8 septembre 1943, le mystère s’est expliqué.

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Jan Doets serait bien élégant dans une devise militaire quelconque ainsi que dans les draps redoutables d’un vrai « cosaque ». Et pourtant, ce nom passepartout ne doit pas être pris au pied de la lettre. Pour lui, tout comme ses interlocuteurs privilégiés, c’est l’humanité qui compte.
Une humanité, bien sûr, qui se rebelle aux « ghettos » de toutes les histoires. Car le plus important c’est la recherche de l’autre qui est derrière chaque texte ou dessin ou morceau musical. Et c’est aussi la certitude d’y trouver une affinité, quelque chose que les mots et les signes cachent toujours.
C’est cela qu’intéresse notre ami Jan Doets. Et c’est justement pour cette raison-là qu’il a réalisé, avec son blog, une espèce de zone franche ou « radeau de l’esprit » pour les écrivains, les poètes et les artistes francophones. D’ailleurs, « Les cosaques des frontières » ont leur « cerveau » à La Haye, incontournable ville-village de Hollande, mais, en définitive, si l’on voit les noms des participants et leur lieu de résidence habituelle, cette « plateforme nomade » pourrait se disloquer presque partout dans la planète francophone.
Peut-être, ceux qui envoient leurs textes ou leurs images à Jan Doets ont besoin de s’éloigner de temps en temps de leur « contexte ».
Quant à lui, Jan a besoin de donner libre cours à son grand amour. Et c’est pour l’amour de la langue française apprise et cultivée sur les romans de Camus et Saint-Exupéry, de Sartre et de Gide qu’il est déjà au deuxième « tour de l’amitié ».
En juin, il a visité Avignon, Aix-en-Provence et Marseille où il a rencontré Brigitte Célérier et Christine Zottele. Maintenant, après une visite à Amiens où il a vu Françoise Gérard, il vient d’achever cette brève halte à Paris dont je vous ai raconté l’essentiel. Tout de suite après, il est parti à Angers sur la Loire pour une autre étape…
D’autres en suivront, avant qu’il rentre chez soi. Pour un homme de presque quatre-vingts ans et pour sa femme aussi, ce n’est pas la « route du potager ». Mais la réalité est toujours pleine de surprises. Avec ces « promenades cosaques », des cercles invisibles se brisent, des habitudes se révèlent beaucoup moins indispensables qu’avant, une nouvelle idée de lecture et d’écriture basée sur l’échange et la confiance s’impose.

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D’ailleurs, si la culture reconnue et affirmée cesse de se battre pour le renouvèlement et pour la découverte de nouveaux écrivains et poètes (ne sortant nécessairement pas d’un « atelier d’écriture » branché ou d’une école renommée), si cette culture plus ou moins officielle accepte sans aucune réaction les logiques économiques et quantitatives qu’on voit de plus en plus s’imposer (dans le numérique tout comme dans le papier)… alors je ne me scandalise pas si par une certaine naïveté ou même par une « barbarie cosaque » des gens de talent essaient de frapper bruyamment aux portes closes.

Giovanni Merloni

écrit ou proposé par : Giovanni Merloni. Première publication et Dernière modification 12 juillet 2014 CE BLOG EST SOUS LICENCE CREATIVE COMMONS Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 3.0 non transposé.

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