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La banalité du bien ou « Sans doute il est déjà trop tard »

12 jeudi Oct 2017

Posted by biscarrosse2012 in mon travail de peintre, portraits inconscients

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Ambra Patti Feula, Corinne, Espace Mompezat, James Stewart, Jean-Jacques Travers, La vie est belle

La banalité du bien ou « Sans doute il est déjà trop tard »

Très récemment, le diabolique Facebook (que j’avais fréquenté assez régulièrement pendant les années de ma première installation en France) m’a proposé de relancer le souvenir d’un événement qui s’était déroulé à Paris il y a cinq ans pile. Il s’agissait en fait de ma deuxième exposition en France (la dernière pour le moment) qui eut lieu dans l’Espace Mompezat, un endroit que j’ai plusieurs fois évoqué par la suite sur ce blog.

Revoyant les photos soigneusement gardées par FB, je n’ai pas du tout revécu l’enthousiasme de ces jours, dont j’ai pourtant un souvenir très agréable, physique et sentimental à la fois.
Cela dépend sans doute du fait qu’après cette exposition ne se sont pas enchaînées d’autres initiatives similaires, mais aussi de ce que ces images ressuscitent.

D’abord, les visages et les silhouettes des uns et des autres qui ont changé avec le temps (un peu, assez, beaucoup, énormément), ou alors ont disparu. Ensuite une sorte de radiographie du souvenir lui enlevant les sourires, la circulation vertigineuse des regards que les tableaux capturaient, les éclats des voix sans doute sincères qui rendaient aux tableaux une certaine sonorité sinon l’épaisseur d’une véritable affabulation, fredonnée discrètement…

Non, décidément le souvenir façonné par FB ne correspond pas à ce qui reste dans mon esprit et dans mon cœur. Le souvenir, par exemple, des après-midi que je passais les jours suivant le vernissage en compagnie de deux personnes qui me sont restées chères, toutes les deux membres de l’Association des Poètes français, propriétaire des murs blancs auxquels j’avais accroché ma vie.
La première, se prénommant Corinne (je ne me souviens pas de son nom de famille), habitait dans une péniche sur la Seine. Elle partageait vivement mon naïf désir de reconnaissance à l’étranger et, je crois, mon fatalisme d’homme de l’Europe du sud.
La deuxième, ce fut aussi une apparition magique que je n’oublierai jamais de ma vie. Il s’agissait d’un être bon, ressemblant de façon impressionnant à Clarence, l’ange gardien qui sauve la vie et l’âme de James Stewart dans « La vie est belle ». Un grand poète, un vrai poète, qui m’accueillit, la première fois, en un début d’après-midi, avec une phrase qui évoquait le grand mystère de la fraternité humaine : « Voilà, dit-il à peu près, c’est le Destin qui a décidé que nous devions nous rencontrer ! » Je ne sais pas si Jean-Jacques Travers aimait mes tableaux. Je sais qu’il était très aimable et que nous avons passé ensemble des heures sereines à l’Espace Mompezat, en discutant librement et sans aucune arrière-pensée de poésies mortelles et de poètes immortels.
J’aurais voulu par la suite faire trésor de ces deux amitiés-coups-de-cœur… mais, au lendemain de la fermeture de l’expo, Corinne a déménagé qui sait où, tandis que Jean-Jacques est bientôt tombé malade et quelques ans après il est mort, sans savoir combien cela m’avait attristé…

Lors de cette exposition, j’ai vendu quelques-uns des tableaux exposés et j’en ai donné des autres en cadeau, pour m’acquitter de la bienveillance de ceux qui m’avaient aidé à différents titres…
Je ne regrette pas, en général, les tableaux qui sont partis ailleurs, trouvant un nouveau mur où s’accrocher, ou alors un tiroir ou une cave humide où s’ensevelir. Mais chaque fois que j’y pense, cela fait déclencher en moi une sorte de mélancolie rétrospective dont je me sauve toujours assez péniblement.
Je me demande souvent, par exemple, combien de tableaux, pour la plupart aboutis et pleins d’énergie — qui font presque un tiers de mon travail total —, ont été détruits ou alors gisent, horriblement abîmés, dans des endroits inaccessibles…

Où est-il, par exemple, « L’incendie », que je n’avais même pas eu le temps de photographier avant de le vendre à Parme à un tel Antonio B. (dont je n’ai trouvé aucune trace ni à Parme, ni en Emilia-Romagna ou dans le reste d’Italie) ?

Où est-elle « L’étreinte » que j’avais donné à mon amie Ambra F. ? Où est-elle ? (1)

Y a-t-il quelqu’un qui a eu le sain réflexe de conserver mes quatre ou cinq dessins sur le thème du Roland furieux qui avaient trôné pendant longtemps dans la salle de réunion d’une industrie pharmaceutique de Pomezia, au sud de Rome ?

Et cætera. Voilà une pensée douloureuse, effrayante même, que l’un des infinis réseaux sociaux a déclenché en moi au nom de cette insupportable « banalité du bien » : une véritable avalanche de pacotille à la saveur de miel qui nous envahit au jour le jour.
Sans doute, c’est de ma faute si une partie considérable de mon « patrimoine » flotte dans le terrain vague où tout se perd et tout meurt. Il y aura toujours quelqu’un qui m’accusera de légèreté et sans doute de manque de lucidité. Toujours est-il que mes œuvres perdues, petites ou grandes qu’elles fussent, avaient en elles une indiscutable cohérence, une force !
D’ailleurs, tout autour de nous se métamorphose ou disparaît, sans laisser d’adresse. Il ne reste peut-être que le vent.

Giovanni Merloni

(1) La dernière trace que j’ai trouvée de mon amie peintre, une excellente aquarelliste, c’est un article de 2012 d’une blogueuse passionnée d’art qui, visitant la fameuse exposition annuelle des 100 Peintres de via Margutta, avait repéré dans un coin les tableaux d’Ambra, avec une phrase on ne pourrait plus inquiétante : FORSE È GIÀ TROPPO TARDI (Sans doute, il est déjà trop tard).

Les abstrus voyages et la candide arrogance de Jean-Jacques Travers

13 dimanche Avr 2014

Posted by biscarrosse2012 in commentaires

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Jean-Jacques Travers, portraits de poètes

« Ma première rencontre avec Jean-Jacques Travers date de 1951. Jean-Jacques était arrivé en Finlande, au sortir d’une Grande École parisienne, après avoir traverséà pied la Laponie entre Kirkenes et Inari, venant de Norvège où il avait survécu en exerçant diverses occupations dont celles de Vendeur de sandwiches, Fossoyeur, Soutier à bord d’un vieux vapeur norvégien entre Tromsö et le Spitzberg, Docker, Bûcheron et même Valet de ferme… À Helsinki, il avait finalement déniché un travail de Correspondancier Franco-Anglo-Germano-Suédois dans une Société d’Import-Export. Quant à moi, j’étais venu en Finlande pour y étudier la langue Finnoise et les langues apparentées.
Après la Finlande et la Scandinave, il a vécu au Brésil, est passé par l’Argentine, le Chili, Cuba, le Mexique et même la Chine… Il a appris le Portugais et l’Espagnol. Il a épousé une Brésilienne. Ils vivent maintenant en France et sont grands-parents… »
Voilà un portrait fidèle du poète Jean-Jacques Travers que dessina à la fin des années 1950 Robert Austerlitz, professeur au Département de Linguistique de la Columbia University de New York.
Un poète de la « traversée » et de la nostalgie qui a ressenti la nécessité impérieuse « de vivre » avant de se raconter ou de s’interroger sur les questions universelles de l’existence. Mais, ce tourbillon de voyages réels à« travers » des mondes éloignés et difficiles, cette soumission volontaire et enthousiaste aux difficultés de langues presque impénétrables, ne suffisent pas à expliquer ce qu’on ne pourra jamais expliquer dans la force expressive d’un vrai poète.
Je vous laisse lire ces poèmes ci-dessous — ne représentant qu’une petite pointe d’iceberg d’une vaste œuvre sans failles — sans plus rien ajouter. Car vous-mêmes y trouverez la réponse à la question primordiale de Jean-Jacques Travers : « Et si j’étais Chagrin/ Immuable, incolore,/ Nostalgique et perclus,/ Entre le Pas-Encore/ Et le Déjà-Plus ?… »
Giovanni Merloni

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Giovanni Merloni, Torquato Tasso Particulier du tryptique Oubli et sagesse, huile sur toile 90 x 270 cm, 1990

Les abstrus voyages et la candide arrogance de Jean-Jacques Travers

Immanence
Qu’avaient-ils donc ces jours et ces nuits d’Autrefois
Pour flamber de tels feux en notre souvenance ?
Ne saurons-nous jamais parmi tous nos émois
Épeler les frissons de nos incandescences ?

Qu’ai-je donc oublié dans la fuite des jours ?
Quelle étoile a manqué pour baliser ma route ?
Me voici tout confus et mes élans trop gourds,
Convulsé d’à-peu-près, de chagrin et de doute…

Quel infime détail a fait surgir l’absence,
Quand tout m’était ferveur au seuil de l’Infini ?
Les jardins enchantés ont fané leur fragrance
Et nos regards fiévreux sont désormais ternis.

Le Temps dérape et fuit : Tout n’est plus qu’apparence,
Faux-semblant ou récit de bonheurs illusoires.
Rien ne rappellera la candide arrogance
De nos frissons froissés de moiteurs dérisoires…

Lorsque tu reviendras de tes abstrus voyages
Je serai là, hurlant mon impatience en gage…
Et tout ton corps si doux que l’absence m’a pris,
Je l’étreindrai… Jusqu’aux racines de ton cri…

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Prescriptions
Quand le souvent rêvé n’est plus qu’une habitude,
Quand les regrets anxieux pleurent le désormais,
Devrai-je malgré moi taire mes plénitudes ?
Seul, ce que j’ai perdu m’appartient à jamais…

Quand mes penchants secrets n’auront plus de saison,
Quand l’essentiel sera de ne plus retenir,
Tous mes songes déçus deviendront sans raison :
Hélas, pour se donner, il faut s’appartenir…

Heure mauve
…Je ne sais si je suis le remords ou l’envie
De frissons enroués au vent des abstinences :
Tu vis si nue en moi qu’il me faudra ma vie
Pour oser te vêtir du linceul de l’absence…

Passante
Sous le noir de ses bas vers un haut d’insolence,
Mon regard à surpris une pâleur obscure
D’où m’épie et m’obsède une lisse béance
Qui m’invite à rêver de soyeuse échancrure…

Femme soudain croisée, un bref instant ténu,
Je ne puis que songer, par-delà mes abîmes,
Qu’il me faudra mourir sans même avoir connu
Le secret jamais su de ta saveur intime…

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Odyssée
Je vivais de ferveurs et de grâces intimes,
Mon temps se confondait avec mes sortilèges,
Mon Espace accédait à l’au-delà des cimes
Sans jamais m’étonner de si hautains cortèges…

J’escaladais sans peur le fracas des saisons,
Les déserts de silence et leur brumeux tangage,
Octroyant, imprudent, sans rime ni raison,
À d’étranges tourments mon avenir en gage…

J’allais donc, impérieux, sûr de mes alchimies
Sourdant de l’infini d’obscures déferlances.
Déjà je pressentais sous la cendre endormie
D’indicibles regrets aux languides dolences…

Et c’est ainsi qu’un soir je ne fus plus qu’Absence :
Désormais sans pouvoir, et mes élans enfouis,
Je m’invente un Passé, reflet d’une Présence
Dont les échos crispés s’essorent dans la nuit

Riihimäki (Finlande), décembre 1951

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Hypothèse
Et si j’étais Chagrin,
Chagrin d’un autre Temps,
Chagrin d’un autre Ailleurs ?

Et si j’étais Chagrin,
Voyeur impénitent
D’impassibles rumeurs ?

Et si j’étais Chagrin
Immuable, incolore,
Nostalgique et perclus,
Entre le Pas-Encore
Et le Déjà-Plus ?…

Métamorphoses
Ces myriades d’instants
Déjà franchis, déjà lassés,
S’entassent désormais figés
En leurs rades bouffies…

Et TOI
Dont j’espère la venue
En mon ciel trop changeant,
Seras-tu ma Durée ?

Quant à moi
Pour TOI
Je serai VENT…

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Véhémences
J’ai vécu d’autres jours, j’ai connu d’autres lieux,
J’ai rêvé d’autres soirs, j’ai veillé d’autres morts,
J’ai tremblé d’autres soifs, j’ai humé d’autres cieux,
J’ai hâlé d’autres cœurs, j’ai hanté d’autres sorts,
J’ai hélé d’autres voix,
J’ai halé d’autres croix…

J’ai vu les nuits d’enfer, étouffé sous les chocs
Du vent polaire abrupt éructant sa rancune,
Et j’ai pleuré, livide en des déserts de rocs,
La mer polie et moite aux branchages de lune…

Et des destins confus, verdâtres et vitreux,
Ma pauvre âme a craqué sous le gong des bourrasques,
Emmêlant ses sanglots aux suintements visqueux
Du sang des printemps morts aux parfums lents et flasques…

Mort au soleil ! Mort aux étoiles ! Mort au jour !
Viennent la nuit, la tempête et ses noirs supplices !
En ricanant le vent pourchasse mes amours
Dans les ruisseaux bourbeux, boursoufflés d’immondices…

Helsinki, 4 juillet 1952 (À Robert Austerlitz)

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Adieu, Finlande 
Adieu hélas, adieu mon grave et grand amour
Je garderai de toi l’éternelle pensée
Que le Destin clément, à l’aube de mes jours,
Dévoila le Bonheur à mon âme étonnée.

Pour ces soirs si joyeux, pour ton clair regard lisse,
Pour tes lourds cheveux blonds à mes doigts si soyeux,
Pour ton parfum secret où le mystère glisse,
Pour tes frissons profonds au rythme impétueux.

Pour ta bouche enfantine, ardente et veloutée
Que j’écrasais brutal pour l’entendre gémir
Ta plainte qui montait ravie et saccadée
D’un temps passé lointain, lointain sans avenir,

Ô Finlande, frais songe éblouissant d’enfance,
Réponds, me fallait-il vraiment venir ici ?
Pour ce premier sanglot de mon cœur en partance,
Et pour ton souvenir, Ô Finlande, Merci.

Chaque moment qui fuit emporte notre rêve
Vers un cruel Obscur d’où nul n’est revenu,
Et notre Amour ne fut qu’un répit, une trêve
Pour nos destins mêlés, un instant confondus…

(À Mary Ann)

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Rive gauche
Je ne reverrai plus les tours de Notre Dame
Ni les matins d’avril sur les quais endormis,
Je ne reverrai plus, et ce m’est tout un drame,
Ni mes parents, ni mes amours, ni mes amis…

Si loin de Toi, Paris, en cette fin de terre
Je ne peux qu’invoquer mon enfance songeuse
Le long de tes trottoirs, quand tu m’étais frontière
Pour mes pas vagabonds en ma saison heureuse…

Paris, si loin de Toi, je sais certaines rues
Qui m’auront vu flâner bien plus que de raison…
Dans la nuit qui tremblait sur tes berges écrues
J’ai tellement rêvé mes futures saisons…

Et Vous, mes ponts moussus, Ô Vous, que vous soyez
Des Arts, Petit ou Neuf, Double ou de Saint-Michel,
Ce soir je me souviens : Mon tout premier baiser,
Ce fut sur l’un de vous… (Dirai-je un jour lequel ?…)

Oserai-je espérer qu’au détour du Destin
Je puisse encore un soir entendre tes rengaines
Au fond d’arrière-cours aux doux pavés disjoints
Dans la fauve ferveur d’un dimanche de traîne ?…

Tierra del Fuego (Chili), octobre 1955

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Après cette poignante lecture, une petite voix s’ajoute que il me semble opportun de citer. C’est la voix de la fille du poète, Silja Travers qui dit, parmi d’autres considérations, qu’il serait « vain de tenter une quelconque analyse ou de se mettre en quête d’un message ou d’une finalité. Ainsi qu’il a vécu et écrit, le poète vivra et écrira encore et toujours de plus profond de son propre univers, seulement attentif (et avec quel ferveur !) à ses plus intimes repères. Ce qui donne sa force au poète, c’est à la fois sa capacité d’aimer et son sens du dérisoire, la chance et l’espace qu’il consent au hasard, son don inné pour percevoir le bonheur et le chagrin. Il sait qu’ici-bas on souffre, on perd, on pleure. Mais il sait aussi qu’avec son cœur on aime, on donne… Et on écrit… »

P.-S. Ceux qui désirent contacter Jean-Jacques Travers pour lui adresser des commentaires ou pour en savoir plus sur son oeuvre poétique, en dehors d’un éventuel commentaire à cet article, peuvent écrire à la Société des Poètes Français : 16, rue Monsieur le Prince, 75006 Paris, ou bien adresser un mail à : stepoetesfrancais@orange.fr

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