le portrait inconscient

~ portraits de gens et paysages du monde

le portrait inconscient

Archives de Tag: Francis Vladimir

« …un ciel plus bleu que les yeux d’un enfant » (Première excursion dans la poésie de Francis Vladimir)

27 dimanche Jan 2019

Posted by biscarrosse2012 in commentaires

≈ 1 Commentaire

Étiquettes

Alexandre Blok, Claire Dutrey, Francis Vladimir, Poètes sans frontières, Vital Heurtebize

Giovanni Merloni, L’autunno è i tuoi capelli, aquarelle 50 x 70 cm, 1976

« …un ciel plus bleu que les yeux d’un enfant » (Première excursion dans la poésie de Francis Vladimir)

Le prochain vendredi 22 février à 14 h 30, Francis Vladimir, un ami poète que je connais depuis quelques années et estime beaucoup, sera l’invité des Poètes sans frontières avec sa « Célébration », un texte poétique à mon avis unique. Avec Vital Heurtebize et Claire Dutrey, j’aurai l’honneur de présenter Francis Vladimir et le faire connaître, j’espère, à quelques-uns de mes lecteurs, que j’invite vivement à se rendre, ce jour-là, au Hang.’Art, 63 quai de Seine, 75019 Paris.
Je vous donne ici-dessous quelques anticipations de son œuvre poétique vraiment intéressante et belle. À partir de l’enregistrement vidéo de sa présentation de « Célébration » à la librairie parisienne « Au gai Rossignol ».
G.M.

Vendredi 26 octobre 2018, Au Gai Rossignol de Paris, Francis Vladimir a dit quelques morceaux de « L’automne », extrait de « Célébration », son dernier texte poétique (Video YouTube)

« Que dit ce pleur d’automne ? »
Alexandre Blok

Regarde ce ciel d’automne
Avec ses longs cheveux
Crinière dans le vent
On dirait qu’il chevauche
L’absolu au galop
(p. 120, « Célébration » de Francis Vladimir, éditions Au Pont 9)

Voici le bel automne
Le danseur des couleurs
Qui se balance aux branches
Pour ne faire qu’un corps
Avec un ciel d’alcool.
(p. 113, ibidem)

C’est un automne nu
Qui à présent s’installe
Sans habit ni soulier
Pyromane écorché
De ses couleurs suspectes
(p. 113, ibidem)

Les premiers jours
D’automne
Sont encore inaudibles
Ils ont la foi tronquée
De toute fin d’été.
(p. 86, ibidem)

À la nuit et au jour
Qui se donnent la main
Sous les larmes d’automne
Quand tout semble à jamais
Relégué au passé
(p. 111, ibidem)

J’ai vu des spectres blancs
Dans le grand lait du ciel
Venant de nulle part
Ils ont lâché sur nous
Leur féérie d’automne
(p. 110, ibidem)

Avec des fils d’argent
J’ai arrimé les bas nuages
Blancs que l’automne amoncelle
Sur nos têtes chenues
Grand miroir renversé
(p. 112, ibidem)

Ce sont de grands tissus
Qui traversent le ciel
Une main mystérieuse
Et expérimentée les coud
Au fronton de l’automne
(p. 112, ibidem)

Je les ai vu passer
Du matin jusqu’au soir
Ces grandes banderoles
Que le satin du ciel
Déploie au grand automne
(p. 112, ibidem)

Des étoffes et des couleurs
Toujours pour faire un ciel
Plus bleu que les yeux d’un enfant
Que l’automne tardif
A surpris dans son jeu
(p. 113, ibidem)

Sur la table du ciel
Des monceaux de nuages
Tissus effilochés pour des habits
D’automne que les astres
Lointains refusent d’endosser
(p. 112, ibidem)

C’est un métier bruyant
Qui file à l’horizon des fils
D’or et d’argent que l’automne
Insensible noue à mon cou
De condamné à mort
(p. 113, ibidem)

Il y a dans le ciel une langueur
D’automne, une langue de feu,
Cheval en équilibre
Qui se cabre et hennit, âme
Violette qui se met au galop
(p. 118, ibidem)

La lune est un étang
Céleste. Les passereaux
D’automne la transpercent
La nuit
Pour d’autres horizons
(P.116, ibidem)

D’autres yeux ont pleuré
Et le ciel, informe marécage,
À son tour a pleuré
Sans savoir le pourquoi
De l’automne qui pleure
(p. 116, ibidem)

L’équinoxe d’automne
Où le temps se partage
Dans l’équité des astres
Dernier soupir d’été
Dans les branches des arbres
(p. 82, dans « L’été », ibidem)

Oui nous avons couru comme jamais
Heureux de cette vie aux formes abondantes
À présent tout s’étiole, la terre n’en peut mais,
Et la saison multiple se défie de l’automne
Avec ses tissus froids rapiécés de fils d’or.
(p. 112, ibidem)

Il flotte dans l’air d’automne
Des particules élémentaires
Qu’on se plait à saisir d’un regard
Vagabond comme si la vie
Se résumait à traquer l’indicible
(p. 103, ibidem)

Une harmonie d’automne
Faite de feuilles séchées
Et de couleurs passées
Comme un point d’absolu
Au-devant d’un corps nu
(p. 104, ibidem)

Les géraniums ont changé de couleur
De leurs teintes pourprées
Ils colorent l’espace qui dort sur la terrasse
Et l’air tout alentour
Instille l’harmonique de cet été indien
(p. 102, ibidem)

Dans le jardin d’automne
Les fleurs les arbres
Et les semis cachés
Ont la teinte discrète
Sobre et dépareillée
(p. 100, ibidem)

Les semis d’automne
Sont vigie d’espérance
On dépote, on arrache,
On creuse, on arrose,
On se sent plus léger
(p. 103, ibidem)

Une rose d’automne
Pleure d’éternité
De sa couleur exquise
Elle mime en silence
Les soubresauts d’une âme
(p. 125, ibidem)

Le langage des fleurs
La parole cachée
Que le jardin d’automne
Au secret bien gardé
Ne déflore jamais
(p. 103, ibidem)

Les arbres se souviennent
De leur enfance et dans le ciel
Couleur de geai ils comptent les années
Et les générations que l’automne
Disperse d’un même mouvement
(p. 111, ibidem)

Je regarde l’érable avec ses bras
Si amples qu’il tutoie les nuages
Et le puits qu’il vénère a la mine
Sévère des pierres centenaires
Que l’automne balaie.
(p. 90, ibidem)

Le figuier tremble sous le vent
De l’automne. Il a des larges feuilles
Et des figues trop hautes, trop mûres,
Elles tombent une à une, odorantes
Et très molles, elles collent aux doigts
(p. 90, ibidem)

Sur la feuille d’automne
Voici que disparaît
La couleur de l’été
Et qu’apparaît soudain
Une papille d’or
(p. 97, ibidem)

C’est une journée d’automne
Avec ses couleurs mauves
Et ses pigments safran
Le feuillage muet s’est défait de son or
Sous l’étoffe du ciel
(p. 103, ibidem)

La campagne était belle, d’une lenteur
De vague, sans écume et sans force,
Lorsque la mer, fatiguée, assagie, se fige à son tour
Les yeux alors s’obstinent en quête d’horizon
Et l’automne essoufflé devient un ami sûr
(p. 108, ibidem)

L’automne a déposé inquiet
Son grand manteau troué
La terre est jonchée de feuilles à l’éclat
Lourd mouillé et presque noir
Que le vent par endroit soulève avec effroi
(p. 108, ibidem)

Deux arcs-en-ciel se sont superposés
Dans le ciel menaçant leurs jambes
Étaient visibles puis les couleurs
D’un coup ont fondu tristement
Dans la lueur d’automne
(p. 107, ibidem)

L’horizon n’était barré par rien
Sauf quelques bosquets d’arbres qui, au loin,
Semblaient des casemates où des chevreuils
Bivouaquaient en famille et l’automne, lui,
Avançait à grands pas surchargé de couleurs
(p. 108, ibidem)

Les cieux à l’infini
Sont un jardin céleste
Où l’automne promène
La pourpre et l’or
De son manteau de deuil
(p.103, ibidem)

Dans le café du coin
J’entends parler les gens
De la pluie du beau temps
Mais des rancœurs aussi
Que l’automne déploie
(p. 105, ibidem)

C’est un café fréquenté
Par les gens d’alentour
Des salariés des travailleurs
D’ailleurs et des voisins penauds
Dans leurs habits d’automne
(p. 105, ibidem)

Au détour d’une phrase
Un mot parfois suffit
Et le regret se fait
D’aller voir si ailleurs
L’automne est accueillant
(p. 105, ibidem)

Dans les longs jours d’automne
Tout nous semble si long
Si rangé que l’équinoxe même
Quelque part sur la terre
Renonce à partager le temps
(p. 125, ibidem)

La liturgie d’automne
Un chant amplifié
Par la nature même
Qui se remet en chaire
Ou le genou à terre
(p. 114, ibidem)

Automne, saison des parenthèses,
Où la vie rétrécie se suspend à un fil
Dernier miroir tendu d’une équation
Distante, Insoumission d’une âme, rongée,
Sacrifiée, en plein vol dispersée
(p. 126)

L’homme que je suis devenu
Regarde devant lui
Mais il ne sent plus rien
Ni l’automne mélancolique
Et tendre ni son éternité
(p. 113)

Des mots toujours des mots
Des signes fabuleux des cris
D’oiseaux de proie et des ailes
Géantes en quête de saison
D’automne en majesté
(p. 85)

Francis Vladimir

Juin 2018, Francis Vladimir jouant une pièce d’Anton Tchékhov à Paris

Juin 2018, Francis Vladimir et Marie Aubert jouant une pièce d’Anton Tchékhov à Paris

Cher Francis,
Sincèrement, j’ai beaucoup aimé, vendredi dernier, cette rencontre poétique au Gai Rossignol.
Dans une ambiance libraire on ne pouvait plus cohérente à l’esprit rêveur de l’assistance, ta « lecture par cœur et à voix juste » des Célébrations m’a profondément touché.
Non seulement pour ta présence d’acteur, que j’avais déjà appréciée cet été dans une interprétation de deux « shorts » de Tchékhov pleine d’humour et de verve existentielle. Vendredi j’ai trouvé cette présence encore plus charismatique, avec ta façon désenchantée et intime de nous partager à la fois l’émotion des saisons et le dialogue intérieur du poète engagé et sensible que tu es.
Avec cette « lecture libératoire » — qui ne se dérobe pas aux contraintes de la vie mais dépasse nonchalamment celles de l’édition —, tu m’as fourni une clé indispensable pour aller au-delà de ma première lecture, peut-être trop respectueuse de la configuration de la page, me donnant la chance de me faire une idée plus pertinente de ce que représentent pour toi les quatre saisons, que tu célèbres à l’échelle du temps humain et dramatique qui les traverse.
En t’écoutant, j’ai apprécié l’importance de ton travail, consistant à mon avis moins dans le creusement en profondeur que dans l’endiguement illuminé de ce que ton être généreux et sans doute volcanique laisse jaillir spontanément : comme dans le théâtre de Tchékhov, épuré même quand il s’agit de déchirantes passions, tu recherches dans l’essence impressionniste des images, se mariant prodigieusement à l’essence philosophique des mots, la clarté d’un discours que tout le monde peut enfin comprendre et reconnaître comme sien.
Tu instaures un dialogue merveilleux entre les images et les mots et ce dialogue correspond parfaitement au dialogue intérieur du poète visionnaire que tu deviens quand tu te racontes…
Moi aussi, je m’étais mesuré — en des aquarelles versifiés — avec le thème des saisons, en y mettant en valeur l’importance des cheveux. Moi aussi j’ai toujours cherché la façon de me raconter de façon théâtrale, à travers un dialogue avec un, cent, mille autres personnes vivantes ou disparues qui constellent mon ciel diurne ou nocturne. J’ai longuement songé à une lettre à une personne libre de préjugés et pourtant animée d’une sincère et tenace disponibilité à l’écoute. Jusqu’ici, ce dernier « roman de ma vie » n’a pas trouvé la bonne route pour s’exprimer, tandis que les souvenirs flottent péniblement avec les regrets et les remords, ne se fixant que rarement sur des fragments poétiques ou alors sur des textes forcément fictifs, où les personnages se débattent dans leurs déguisements comme Hercule dans la tunique de Nessus…
Dans tes « Célébrations », les Saisons sont des interlocuteurs neutres mais pas du tout indifférents !
D’ailleurs, elles sont des immenses royaumes, où le particulier et l’universel cohabitent, nous apprenant à décliner le grand avec le petit, la feuille avec la petite étoile tombante, l’arbre avec les immenses et redoutables constellations qui essaient inutilement de mesurer l’infini.
Les Saisons rythment le temps de nos vies : elles sont toutes les mères et tous les pères du monde et, en même temps, elles sont nos parents à nous, ces êtres exigeants et indulgents, se révélant présents ou absents selon ce que décide la loi du Temps qui tout efface et métamorphose.
Entre « infini » et « inattendu », les Saisons, pour toi, ne sont pas que les décors du théâtre de la vérité : elles forment une partition invisible où ta musique intérieure peut s’épanouir ; elles sont la métrique idéale pour tes vers dramatiques et le rythme le plus approprié pour ta quête incessante d’un sens et d’un but à notre vie d’hommes écrasés et de poètes insoumis.
Giovanni Merloni

Mon cher Giovanni,
il est difficile de répondre à une adresse aussi éloquente comme tu as bien voulu le faire.
Je sens combien tu as saisi l’essence de ce que j’ai essayé de dire avec « Célébration ».
Ce que je creuse est bien de l’ordre du sensitif qui rejoint l’interrogation que chacun de nous pose à la vie. Cette avancée de noctambule, d’équilibriste sur la corde raide du peu de temps qui nous est imparti, j’essaye de la mener en me prenant en main du mieux que je le peux et en tendant la main à ceux qui veulent bien la saisir et m’entendre.
Il est bien vrai que le désenchantement n’est jamais loin mais sans doute est-ce pour ça que je m’efforce de réenchanter avec des mots fusains sur la toile de l’existence, le quotidien dont les saisons sont partie prenante, de manière cadencée ou répétitive, mais avec cette prégnance qui fait que l’homme et la femme se retrouvent enrôlés dans le tourbillon de la vie, quel que soit le rôle qu’ils y jouent.
Merci mille fois pour ces mots chaleureux, venus du coeur, dits avec une justesse profonde, qui rejoignent et permettent de partager l’intime conviction que la poésie est salvatrice, que l’art tout court nous élève bien au-dessus de nous.
Et si le sentiment du merveilleux m’habite c’est que je le retrouve dans les regards et les mots échangés avec les autres.
Je ne sais s’il y a une bonne route à prendre pour dire ce que nous avons en nous, pour extirper le sens que nous recherchons et que nous accordons à ce qui nous entoure, au monde tel qu’il va (bien ou mal), mais je sais que la tentative est nécessaire et vitale et qu’elle nous réconcilie avec nous-mêmes et le monde.
Nos royaumes ne sont rien s’ils n’accueillent les pèlerins égarés, les blessés du coeur, les amochés de la vie, les grands solitaires en quête de la dernière étoile, c’est pourquoi j’ai voulu leur offrir cette magie qui opère à portée de mains et sous nos yeux, dès lors qu’on s’attable au quotidien et qu’on apprend à l’accepter.
Si nous nous évadons nous le ferons ensemble et nous goûterons à une liberté possible.
Francis Vladimir

Copyright France

ACCÈS AUX PUBLICATIONS

Pour un plus efficace accès aux publications, vous pouvez d'abord consulter les catégories ci-dessous, où sont groupés les principaux thèmes suivis.
Dans chaque catégorie vous pouvez ensuite consulter les mots-clés plus récurrents (ayant le rôle de sub-catégories). Vous pouvez trouver ces Mots-Clés :
- dans les listes au-dessous des catégories
- directement dans le nuage en bas sur le côté gauche

Catégories

  • échanges
  • commentaires
  • contes et récits
  • les unes du portrait inconscient
  • mon travail de peintre
  • poèmes
  • portrait d'une génération
  • portraits d'auteurs
  • portraits inconscients
  • romans

Pages

  • À propos
  • Book tableaux et dessins 2018
  • Il quarto lato, liste
  • Liste des poèmes de Giovanni Merloni, groupés par Mots-Clés
  • Liste des publications du Portrait Inconscient groupés par mots-clés

Articles récents

  • Le silence est l’infini de la musique (Extrait de la Ronde du 15 janvier) 15 février 2019
  • Corinne Royer et la « jeune fille de longue date » 8 février 2019
  • « …un ciel plus bleu que les yeux d’un enfant » (Première excursion dans la poésie de Francis Vladimir) 27 janvier 2019
  • « …quand le jour surgit, je sais qui je suis : Moi » (Rencontre des Poètes sans frontières avec Régine Nobécourt-Seidel) 25 janvier 2019
  • Promenades (Contribution de Joseph Frisch à la Ronde du 15 janvier 2019) 15 janvier 2019
  • « Chaque siècle fera son œuvre, aujourd’hui civique, demain humaine… » (Claire Dutrey et Jean d’Albi à Saint-Lubin des Joncherets pour le centenaire du 11 novembre 1918 ) 11 janvier 2019
  • Argenteuil 7-19 décembre 2018 : ce fut une réussite ! 7 janvier 2019
  • « L’homme traqué est rond point cerné d’angoisse : le poète occupe depuis le début la place du mort » (Rencontre des Poètes sans frontières avec Philippe Courtel) 3 janvier 2019
  • « On naît, on essaie de faire quelque chose… et l’on meurt ! » (La pointe de l’iceberg n. 9) 29 décembre 2018
  • Des figures… humaines (Extrait de la Ronde du 15 novembre 2018) 15 décembre 2018
  • Au-delà de la vitre, est-ce la mort une chose vivante elle aussi ? (Rendez-vous des Poètes sans frontières avec Jean-Yves Lenoir) 3 décembre 2018
  • « Guetter pour ne pas sombrer » : la poésie de Richard Soudée à l’encontre de la nostalgie et de la peur 20 novembre 2018

Archives

Affabulations Album d'une petite et grande famille Ambra Antonio Gramsci Atelier de réécriture poétique Atelier de vacances avalanches et cloisons Avant l'amour Bologne Bologne en vers Brigitte Célérier Carole Zalberg Claire Dutrey Claudine Sales Dino Buzzati Dominique Hasselmann Débris de l'été 2014 Elisabeth Chamontin Entre-temps Franco Cossutta François Bonneau Giacomo Leopardi Giorgio Muratore Giovanni Pascoli Gênes il quarto lato Isabelle Tournoud Italie Italo Calvino Jacques Prévert Jean Jacques Rousseau José Saramago Journal de débord la ronde Lectrices Le Havre Le Strapontin Louis Borges Luna L`île Michel Benard Montaigne Nuvola Ossidiana Paris petite grande histoire d'une famille Pier Paolo Pasolini portrait d'Italie portrait d'une table portrait d'un tableau portrait du dimanche Portraits d'Auteurs Italiens Poètes et Artistes Français Roman théâtral Rome ce n'est pas une ville de mer récits de jeunesse Solidea Stella Stéphanie Hochet Terrasse de Gutenberg Testament immoral ugo foscolo Une mère française Valère Staraselski vases communicants venise venise extrait Victor Hugo virginia woolf Vital Heurtebize Voltaire X Y Z W Zazie Zvanì À Rome

liens sélectionnés

  • #blog di giovanni merloni
  • #il ritratto incosciente
  • #mon travail de peintre
  • #vasescommunicants
  • analogos
  • anna jouy
  • anthropia blog
  • archiwatch
  • blog o'tobo
  • bords des mondes
  • Brigetoun
  • Cecile Arenes
  • chemin tournant
  • christine jeanney
  • Christophe Grossi
  • Claude Meunier
  • colorsandpastels
  • contrepoint
  • décalages et metamorphoses
  • Dominique Autrou
  • effacements
  • era da dire
  • fenêtre open space
  • floz blog
  • fons bandusiae nouveau
  • fonsbandusiae
  • fremissements
  • Gadins et bouts de ficelles
  • glossolalies
  • j'ai un accent
  • Jacques-François Dussottier
  • Jan Doets
  • Julien Boutonnier
  • l'atelier de paolo
  • l'emplume et l'écrié
  • l'escargot fait du trapèze
  • l'irregulier
  • la faute à diderot
  • le quatrain quotidien
  • le vent qui souffle
  • le vent qui souffle wordpress
  • Les confins
  • les cosaques des frontières
  • les nuits échouées
  • liminaire
  • Louise imagine
  • marie christine grimard blog
  • marie christine grimard blog wordpress
  • métronomiques
  • memoire silence
  • nuovo blog di anna jouy
  • opinionista per caso
  • paris-ci-la culture
  • passages
  • passages aléatoires
  • Paumée
  • pendant le week end
  • rencontres improbables
  • revue d'ici là
  • scarti e metamorfosi
  • SILO
  • simultanées hélène verdier
  • Tiers Livre

Méta

  • Inscription
  • Connexion
  • Flux RSS des articles
  • RSS des commentaires
  • WordPress.com
Follow le portrait inconscient on WordPress.com

Propulsé par WordPress.com.

Annuler