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Éventail de circonstances
Devant le rectangle lumineux :
Wagon-lit arrêté juste avant qu’on entre en gare ?
Avez-vous une cigarette ?
Rêveries d’impatience ?
Danses invisibles ?
Hors d’ici :
Ombres blanches d’opaline,
Prairies sans éclat,
Paroles enchevêtrées
Et lointaines,
Rêveries corsaires.
Giovanni Merloni
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le portrait inconscient 
De la photo à la peinture, il n’y a quelques fois qu’une question de toucher.
On peut supposer que le personnage de la quatrième photo est le photographe des trois premières. Mais ça ne cadre plus.
Oui, c’est vrai, il y a un petit décalage, sinon un effondrement. Et pourtant cela fait partie du jeu de l’imitation d’un hypothétique tableau d’Edward Hopper. Le dernier, pourrait être considéré comme le portrait de l’auteur des précédents tableaux qui observe la scène qu’il vient de peindre, désormais vide des personnages. Donc, les premières trois images sont des tableaux, tandis que la quatrième n’est qu’une banale photo…. Merci pour cette observation !
Non, il n’y a pas de banalité mais du piquant et un joli clin d’œil à Edward Hopper.