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Cette publication, un Reblog de l’article de Giorgio Muratore sur Archiwatch, devrait être lue avec l’autre, immédiatement au dessous.
16 lundi Mar 2015
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Cette publication, un Reblog de l’article de Giorgio Muratore sur Archiwatch, devrait être lue avec l’autre, immédiatement au dessous.
16 lundi Mar 2015
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Le Corbusier, la coïncidence et la soupente
Cher Giorgio, je me suis beaucoup amusé en traduisant pour mes correspondants français ta charmante poésie , justement indignée pour la mauvaise fin, dans une soupente, du pauvre Corbu…sier.
Inconsciemment, je voulais raconter dans les détail le « fait » à mes amis français. En particulier, je pensais à Nicole Peter. je ne sais pas si je le ferai…
Je fréquente toujours avec plaisir le blog de Nicole Peter, Passages, déjà en raison de son nom séduisant et accueillant aussi. Nicole Peter, à son tour, m’honore de ses visites régulières et pleines d’humour… Pourquoi utilisé-je ce terme « humour », avec ce peu d’éléments que notre « société d’inconnus fraternels » nous offre ? Je ne sais pas. C’est une intuition. Elle aime le paradoxe, tout comme moi aussi je l’aime. Elle démystifie même les colonnes portantes voire les clichés les plus enracinés dans nos esprits obéissants, par exemple Le Corbusier. Oui, elle a le courage — que j’admire, bouche bée — de dire qu’à la fameuse Ville Savoie il y a « trop blanc ». Si je pense combien d’années de timidité et de résignation avons-nous vécues dans la stricte observance de cette « clarté » qu’on ne pouvait pas mettre en discussion… devant cette « rationalité » légèrement abstraite ayant la présomption de tout maîtriser ! C’est grâce à Nicole que je me suis rendu dans le blog-encyclopédie de Giorgio Muratore, où j’ai trouvé, entre autres, un intéressant reportage sur les « larmes de Le Corbusier ». Je ne peux pas le traduire ici, mais là aussi on respire un air salutaire de désacralisation, comme dans l’article de Nicole Peter.
09 lundi Fév 2015
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Traduire « ‘n sacco de fero » d’abord du dialecte romain à l’italien, ensuite de l’italien au français ce serait comme monter jusqu’au sommet de la tour Eiffel ou de celle de Tatline, avec la certitude de tomber en se faisant beaucoup de mal. Je peux essayer : une montagne de fer. Serait-ce irrévérencieux envers l’une (ou deux) des merveilles du monde ? Je ne sais pas. Il est sûr et certain que mon ami Giorgio Muratore, professeur émérite d’histoire de l’architecture à Rome, se moque un peu de ces « monstres » toujours projetés vers un avenir qui flotte désormais derrière nos dos vieillis.
Muratore a d’ailleurs une raison tout à fait noble et respectable à défendre. Pourquoi s’attacher à ces modèles — appartenant désormais à des époques révolues — pour proposer ou imposer — ce que fait l’architecte Massimiliano Fuksas, connu en France aussi — un nuage de fer, pour mettre en valeur (ou plutôt en crise) l’un des chefs-d’œuvre de l’architecture rationaliste italienne ?
Il aurait été mieux de laisser ce nuage libre de flotter parmi les toits de Rome, tels un cerf volant ou un drone-jouet !
Pour en savoir plus, je vous invite à suivre les liens à partir de cette image-article de archiwatch.