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Viale Libia, Rome, photo de Giorgio Muratore, da Archiwatch

Le jour d’un instant (Vers un atelier de réécriture poétique n. 7)

138_Le jour d’un instant (Avant l’amour n. 7)

Chère Hélène Verdier,
Je voudrais publier le prochain jeudi 12 février la poésie « Le jour d’un instant » (venant de deux poésies publiées sur le blog : « Rien que dans un instant » et « Le ciel d’un matin gris »). Il s’agit, bien entendu, de poésies, celles-ci, que j’avais écrites au temps de mes 18-19 ans. Je les ai fusionnées, en apportant des modification nécessaires à la cohérence du texte, revoyant aussi le rythme et quelques mots presque partout.
Je vous serai très reconnaissant pour votre regard extérieur et vos observations. Dites-moi où le texte vous semble moins fouillé, ou le choix du mot et de l’expression ne correspond pas bien (ou pas du tout) à l’esprit d’un lecteur français, et cetera…
Cher Giovanni, j’espère ne pas être trop en retard pour vous apporter cette réponse,
je vous rassure cependant, je n’ai relevé qu’une seule erreur : épitaphe étant un substantif féminin, l’accord avec l’adjectif est le suivant : épitaphes quotidiennes (par chance les syllabes ne sont pas comptées… A part cela, le reste relève plutôt de la translation…
J’espère que cela vous sera utile, c’est en tout cas une lecture (et relecture) qui m’ont beaucoup intéressée, bien amicalement…
Merci à vous, Hélène, je ne sais pas si cette poésie, un peu trop triste vous a plu… mais je vous suis énormément reconnaissant !
Oui, ce poème m’a beaucoup plu. Il n’est pas triste, il a la mélancolie du jour qui avance.
Merci encore pour ce travail que vous avez fait si aimablement pour moi !
Je me suis engagé dans cette révision surtout pour essayer d’établir des liens plus directes avec les personnes que j’estime. C’est une « démarche » que vous faites aussi, avec le même esprit je crois, dans vos « simultanées » à vous. Je trouve très intéressants et beaux vos articles, vos réflexions sur le monde qui empire − j’ai beaucoup aimé votre commentaire sur Charlie ! (1) − et je regrette, en cette période-ci, de m’être un peu éloigné de certaines questions, notamment dans le domaine de l’urbanisme, qui me seraient propres…
D’ailleurs, on est obligé de faire une chose à la fois si on veut garder le coup et la barre !…
Merci à Hélène Verdier, qui a participé de façon aussi discrète que sensible au travail de révision de ce texte
(1) Il faut hélas faire le deuil de notre foi aveugle, celle des grands pas de l’humanité vers (dans le désordre) l’égalité, l’education, la paix, la culture (ne cherchons pas trop loin : lire, écrire puisque même cela est l’objet du combat obscurantiste de Boko Haram), le partage des ressources de la planète terre, en un mot, le progrès, ce mot que l’on n’ose plus prononcer faute de savoir encore ce qu’il veut dire. Elles sont loin les Lumières. (Hélène Verdier)

Giovanni Merloni