La page blanche et l’esprit de conversation
Voilà les sillons de la recherche infinie d’une gloire éphémère et pourtant éclatante où l’acharnement solitaire contre le mur d’en face — pour y décerner un paysage ou un sentiment qui nous aide à nous en sortir — fusionne désespérément avec le désir de partager avec d’autres témoins (amis, ennemis, camarades de luttes nobles ainsi que de passions ignobles) les questionnements, infinis aussi, que la vie physique nous impose à chaque tournant ou, pour mieux dire, à chaque réveil au milieu de la nuit…
Giovanni Merloni
salut (euh je m’éveille suis trop brumeuse pour parler)