Une panne informatique ou plutôt une « crise de croissance » de mon ordinateur lui ont causé un arrêt prolongé qui vient de se terminer au bout d’une dure journée, trop tard pour envisager quelque chose d’abouti. En songeant à une fameuse chanson des Beatles, « À Hard Day’s Night » je veux quand même vous adresser une « attestation d’existence en vie » non bureaucratique, avec ce « Portrait d’une femme ligotée, voire en panne ».
Vous retrouverez ici, dès mardi prochain, « Bologne en vers » ou d’autres textes inédites du Portrait inconscient.

Giovanni Merloni