le portrait inconscient

~ portraits de gens et paysages du monde

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Archives de Tag: Zazie

La lettre qui va tout compromettre (extrait de la Ronde du 15 novembre 2017)

09 mardi Jan 2018

Posted by biscarrosse2012 in échanges, poèmes

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la ronde, Zazie

Je reviens à la « normalité » en publiant sur « le portrait inconscient » une poésie que j’avais écrite pour la ronde du 15 novembre dernier, publiée ce jour-là  sur « talipo » (tapages libres, poèmes), le blog de mon ami poète Noël Bernard
G.M.

La lettre qui va tout compromettre

Sculptant dans l’écorce d’une fête champêtre
Qu’un rêve m’octroie rien qu’ouvrant ma fenêtre
Ma lettre sincère retrace la trame de mon être.

Chaque lettre de ma lettre je désire te soumettre.
Dans tes légers filets volontiers je m’empêtre
Car enfin dans tes bras je voudrais bien me mettre

Si je traîne mes guêtres oubliant mes ancêtres
Si je mène une vie piètre en me passant des maîtres
Si mes sabots de hêtre arpentent des kilomètres

Rien que pour le bien-être que tu vas me transmettre
C’est au pied de la lettre ce que j’ai à te promettre
Car voyant m’apparaître tu voudras bien l’admettre

Qu’il n’y a qu’un millimètre séparant nos deux êtres
Que ce n’est pas une lettre qui nous fera omettre
De commettre le délit qui va tout compromettre.

Giovanni Merloni

Ne vois-tu pas ? (Zazie n. 59)

03 mardi Oct 2017

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Zazie

Ne vois-tu pas ?

Ne vois-tu pas ?
N’entends-tu pas le fracas
De feu et de sang, la tempête
Qui détruit en rafales la planète ?
Ne te sens-tu pas inquiète
En sachant que tout ça viendra
Sans que personne l’arrête ?

Ne vois-tu pas ?
Nous aussi creusons des fosses
Pour y cacher nos têtes d’autruche
Nous hissons des murs sans bosses
Pour y cacher nos corps farouches
Tandis que les plafonds s’écroulent
Les lumières de la nuit s’éteignent
Et les ombres du jour s’effondrent.

Ne vois-tu pas ?
Nous aurions pu nous unir
Nous charger de l’avenir
Consacrant notre sagesse
À notre malchanceuse jeunesse
La sortant de la détresse.

N’entends-tu pas les tambours
Appelant au secours
Tandis qu’auprès du comptoir
Nous nous faisons avoir
Par une rengaine renonciataire
Égoïste et solitaire ?

Ne vois-tu pas ?
Nous avons même évité
De nous rencontrer sous le soleil
Et de marcher, en chuchotant
Sur le trottoir très étroit
De ce quartier maladroit.

Ne vois-tu pas ?
Si l’on s’était mieux connus
Et que les gens l’avaient su
Ils nous auraient invités
À la ronde de leurs beautés.

Ne vois-tu pas
Juste au bout de la route
Une silhouette qui te scrute
Avant de te tendre les bras ?

Ne vois-tu pas ?
On est en plusieurs
À chercher notre âme sœur :
Elle est d’ores et déjà
Dans notre cœur qui bat.

Giovanni Merloni

ÉCRIRE… (Zazie n. 58)

12 mardi Sep 2017

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Zazie

ÉCRIRE…

Puisque je ne pouvais pas
Oublier ce que mon corps a subi
Ululer à la Lune ce que mon âme a perdu
Rêver impunément d’un paradis inexistant,

Longuement j’ai attendu que ma main
Écrive sur le sable des histoires farfelues
Sans queue ni tête et surtout désarmées.

À l’envers, par mille portes et fenêtres
Un plateau de théâtre a jailli de ma page,
Terrain vague pour des hommes sincères
Radeau branlant pour des femmes prospères
Escamotage aérien et souterrain gage
Seulement pour vous transmettre mon être.

Giovanni Merloni

Identité posthume (Zazie n. 57)

08 vendredi Sep 2017

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Zazie

  1. identité posthume

Identité posthume

Mon identité
dans un manteau d’ailes noires déguisée
fend l’eau trouble et agitée
d’une lagune de cire,
tout en glissant, en silence
dans la même absence
où elle se mire
ma mère toujours évoquée,
jamais morte.

Depuis la corniche grise,
d’en haut d’un balcon vert
s’affiche, frêle et muette
d’Alfredo mon grand-père la silhouette
ses pantalons à revers,
ses gestes de marionnette.

Ils sont près de lui, ma mère,
ses sœurs et son frère
dans cet édifice austère
au-delà de cette grille sévère
en haut de ce jardin de bambou
de gravier et de petits cailloux.

Qu’Alfredo n’est pas mort je le suspecte
puisqu’il s’arrime, énergiquement
à mon costume chiffonné.
Sans doute voudrait-il
m’accompagner sur le fil
de mon voyage à rebours,
de ma quête sans détours
à travers mille villes mortes
parmi mille frontières
dépassant mille portes.

nonno alfredo 72 x blog

Mes intentions hardies
s’échouent pourtant
sur l’indomptable énergie
de ses cheveux flottants
de son regard perçant
de ses hurlements ardents :
je redeviens l’enfant
pris au piège par la magie
de cet être au couchant
par sa patience infinie
et infinitésimale
par sa rigueur mathématique
par sa force morale
imposant sa joyeuse colère
parmi les feuillets du ministère
devant la table qui vient d’être dressée
rien que par moitié.

À rebours je trottine
au-delà des fenêtres clouées
arpentant de mes bottines
le couloir poussiéreux
où je gagne, bienheureux
les grands lits moëlleux
les lustres lunaires
les brosses à cheveux
le mystérieux secrétaire.

En rêve, mes souvenirs
ne bougent pas. Tel un menhir
de l’ombre jaillit la tante hilarante
m’offrant d’une gueule souriante
du pain du beurre du sel
et des bonbons au miel.
Alitée au fond du carrousel
près d’une cloison noircie
elle m’attend, amaigrie
la tante malade, son nez grotesque
se détachant contre la fresque
d’une Annonciation en copie.

Et toi, mère unique et adorée,
madone flamande et napolitaine
au visage de porcelaine
juste un peu sur l’épaule incliné,
avec ton joli double menton
et ton rire dense d’émotion
tu m’accueilles à tes pieds
et, tout en buvant ton thé
à petites gorgées,
tu m’emmènes, inspirée
dans la gorge de Roncevaux
où Roland meurt, nu-pieds
au chant piteux des oiseaux.
Quel héroïsme impossible,
cette bataille sans corps,
ce brouillard imperceptible
flottant au pas de la mort
contre la surface gonflée
d’une carafe brisée !

l'onda minacciosa 72

Dans la pénombre ouatée
du contre-jour, fermant un œil,
enfoncé dans son fauteuil,
la gueule cachée
sous une feuille éphémère
de journal, sourit bon et sévère
mon grand-père, feignant
des gémissements
ou des râles mortels. Pourtant
il nous guette
il nous écoute
il se laisse piétiner
il oublie d’exister.

À présent, il a disparu
glissant par le pas de la porte.
À jamais je l’ai perdu :
fredonnant quelques impertinences
il s’en va sans escorte
s’enfoncer dans un autre silence
.
Dans son escapade extrême
ma mère ne parle pas, de même
elle n’écoute pas. Elle pleure.
Mélancolique elle sème,
sur la couverture au teint blême
les photos d’avant la guerre
les petites lettres de mon père
les gaies entrevues révolues
avec ses amies disparues.
Les mains détendues, elle demeure
courageuse, poursuivant les mirages
de secrets qui n’ont plus leurs images,
de Venise inondée et repeinte,
des voyages en voiture, de l’enceinte
de Saint-Malo, de sa nichée enfantine,
des vacances en montagne, des cloches
retentissantes, et même de très moches
et répétitives vacances en colline.
Elle tient les bras écartés
sur le drap bien rangé.
Ou alors, recroquevillée,
sans cesse elle lit
s’adonnant à des rêves inouïs
dévorant tant d’histoires inachevées
tragiques, douces, tourmentées.

Vêtue d’un sobre tailleur
elle regrette, du fond de son cœur
qu’elle n’ait pas eu le bonheur,
avant-de-mourir, de mettre son nez
au château d’Aranjuez.

Giovanni Merloni

TEXTE EN ITALIEN

Loin dans le temps, étions-nous, comme on dit, très contents ? (Zazie n. 56)

05 mardi Sep 2017

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Zazie

Loin dans le temps, étions-nous, comme on dit, très contents ?

S’agit-il d’une fuyante silhouette,
Ondoyant à rebours dans ma tête
Ulcérée de regrets ?
S’agit-il d’une geôlière aux aguets ?

Loin dans le temps,
Étions-nous, comme on dit, très contents ?

Survolant les paysages ouatés
Obéissant aux désirs inchangés
Lorgnant les alouettes au passage
Éblouis par leur drôle de langage
Imitions le soleil et la pluie
Longeant la mer, son onde infinie.

Écoutant des guitares, au pas du
Xylophone,
Accrochés au téléphone,
Camouflés par de longs cheveux
Tétanisés par la terreur de l’adieu
Enthousiastes de l’amour dangereux
Mariés ou célibataires
Étoiles filantes ou boucs émissaires
Nous étions sans doute, au faubourg
Tous jaloux de Serge Gainsbourg.

Giovanni Merloni

Anna Karina et Serge Gainsbourg, 1967

(Sous le soleil exactement)

 

Ce que nous avons été (Zazie n. 55)

03 dimanche Sep 2017

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Zazie

Ce que nous avons été

Ce que nous avons aimé
passionnément
Ce que nous avons volé
distraitement
Ce que nous avons désiré
secrètement
Ce qu’on nous a donné
négligemment
Ce que nous avons eu
généreusement
Ce que nous avons vu
imprudemment
Ce que nous avons ressenti
vivement
Ce qui glisse de nos mains
définitivement
Ce qu’il nous reste dans les mains
inutilement
Ce que nous avons été
involontairement.

Giovanni Merloni

Si je rouvre mes yeux (Zazie n. 54)

27 dimanche Août 2017

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Zazie

Si je rouvre mes yeux

Si je ferme les yeux
te vois juste au milieu
d’un redoutable adieu
que fouettait le vent.

Le soupir de ta peau
suffoquant tes ardeurs,
de ta robe, en troupeau
explosaient tes couleurs.

Je mourais extasié
par ta fuyante beauté
se sauvant dans une fleur
épinglée sur mon cœur.

Si je rouvre mes yeux
dans le noir mystérieux
de la nuit longue d’un vieux,
ton étoile noctambule
par-à-coups me bouscule
en caressant mes rides
de sa voix minuscule
et limpide.

Giovanni Merloni

Voilà ce qui nous a changés (Zazie n. 53)

22 mardi Août 2017

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Zazie

Voilà ce qui nous a changés

Nous ne sommes pas seuls :
j’ai des échos
qui escortent ma voix,
tu as les mains occupées
et les poches profondes ;
moi j’arpente la nuit
tandis que toi tu profites du jour
des courses, des promenades 
et, si je poursuis les ombres,
tu respires la mer.

Voilà ce qui change toujours
si l’on vit dans deux tours
séparés :

on se marie au jour
on se fait câliner par la nuit
on se passionne à des histoires
qui flottent devant nous
où d’autres mines et silhouettes
jouent les héros que nous fûmes
les marionnettes que nous serons.

Voilà ce qui change
si je tombe de ta poche,
si tu pars dans le vent
sur un train bleu :
parmi de milliers de mains tendues
nous descendrons deux versants opposés
de la même montagne,
avant de nous effondrer ailleurs,
dans le puits de deux têtes
opiniâtres, de deux cœurs
vaincus, de deux langues
différentes.

Nous n’avons pas eu la chance
ni l’inconscience
d’aller jusqu’au bout
de nos tendres révérences
ressemblant à l’amour.

Nous vivons à présent
éloignés l’un de l’autre
dans nos coins, prisonniers
de ce que nous n’avons su dire
de ce que nous ne devions pas supporter
de ce que nous ne devions pas désirer.
Voilà ce qui nous a changés.

Giovanni Merloni

Quel prodige feras-tu, ma fée ? (Zazie n. 52)

20 dimanche Août 2017

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Zazie

Giovanni Merloni, « Dove il tempo libero diventa avventura »
(« Là où le loisir devient aventure ») été 2003

Quel prodige feras-tu, ma fée ?

Si sous nos yeux
glissant entre nos mains
la vie s’affichera changée
que vais-je faire, d’emblée ?

Si percée par la foudre
ton ombre se brisera
et vite se dégagera,
fuyant parmi les toits
que ferai-je sans toi ?

Si derrière l’horizon
penchée vers le gris de la mer
tu te découvriras ensorcelée
quel prodige feras-tu, ma fée ?

Giovanni Merloni, 1971

Giovanni Merloni

Quelqu’un d’autre / Qualcun altro

18 vendredi Août 2017

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Zazie

Quelqu’un d’autre

1
Quelqu’un d’autre tombe dans la rue
et nous tous tombons dans la rue.

Quelqu’un d’autre hurle de sa fenêtre
et nous tous hurlons de nos fenêtres.

Quelqu’un d’autre éparpille des fleurs sur l’asphalte
et nous tous éparpillons des fleurs sur l’asphalte.

Quelqu’un d’autre creuse au-dessous des décombres
et nous tous creusons au-dessous des décombres.

Quelqu’un d’autre mouille ses mains de ses larmes
et nous tous mouillons nos mains de nos larmes.

Quelqu’un d’autre tape des pieds
dans la colère, dans le désespoir
et nous tous tapons des pieds
dans la colère, dans le désespoir.

Quelqu’un d’autre meurt
et nous tous mourons.

2
Paris, Bruxelles, Nice, Londres, Barcelone…

Quelqu’un d’autre racontera
l’histoire de tous ces noms que nous fûmes.

Quelqu’un d’autre expliquera
le pourquoi dégoûtante et atroce
de cet égouttement continu
de cet holocauste insensé
et nous tous, incrédules, nous comprendrons.

Giovanni Merloni

Qualcun altro

1
Qualcun altro cade sulla strada
e tutti noi cadiamo sulla strada.

Qualcun altro urla dalla sua finestra
e tutti noi urliamo dalla nostra finestra.

Qualcun altro cosparge l’asfalto di fiori
e tutti noi cospargiamo l’asfalto di fiori.

Qualcun altro scava sotto le macerie
e tutti noi scaviamo.sotto le macerie.

Qualcun altro si inzuppa le mani di lacrime
e tutti noi ci inzuppiamo le mani di lacrime.

Qualcun altro pesta i piedi
per rabbia, per disperazione
e tutti noi pestiamo i piedi
per rabbia, per disperazione.

Qualcun altro muore
e tutti noi moriamo.

2
Parigi, Bruxelles, Nizza, Londra, Barcellona…

Qualcun altro racconterà
la storia di tutti quei nomi che fummo.

Qualcun altro spiegherà
il perché schifoso e atroce
di questo continuo stillicidio
di questo olocausto insensato
e noi tutti, increduli, capiremo.

Giovanni Merloni

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