le portrait inconscient

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Dolce vita 1912/1 (Portrait d’une table n. 5)

19 mercredi Déc 2012

Posted by biscarrosse2012 in mes contes et récits

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portrait d'une table

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Chère Catherine,
Nous sommes à l’époque des « mots de passe » et des « mots-clés », appelés dans le sombre et métallo-pratique langage américain « password » et « tag ». (Entre parenthèses, si je pense qu’en Italie on n’a pas cherché dans notre propre langue des mots pour rendre acceptables de tels phénomènes inquiétants de notre quotidien, je me réjouis de m’être réfugié ici, où…) Je serais curieux de savoir s’il y a enfin une véritable différence entre le « mot de passe » — expression qui me fait tout de suite rêver à un échange de prisonniers sur un pont bourré de fils barbelés, ou bien à cet « ouvre-toi Sésame » du conte de l’enfance —, et le « mot-clé, » qui ressemble beaucoup au « lien » (« link » en anglais), qui me suggère au contraire des visions agréables et rassurantes. Dans mon esprit, le mot de passe n’a qu’une fonction, celle d’ouvrir une porte pour « entrer » (dans un cœur, ou dans un coffre-fort plein de médailles d’or), tandis que le mot-clé ouvre une porte pour sortir et arriver, à la vitesse d’un seul souffle, dans d’autres mondes (villes, campagnes, collines, personnes, histoires). Le mot de passe est donc un robinet, tandis que le mot-clé est une catapulte.
Mais, écoute Catherine, je dois tout de suite m’interrompre et faire attention, évitant de glisser dans une série d’arguments en chaîne qui apporteraient une redoutable digression dans mes propos.
Oui, c’est vrai, on est toujours obligé de rattraper quelque chose qui nous échappe. L’exposition de Raphaël au Louvre, par exemple ; le spectacle de Jean-Gabriel Vidal, cette Médée d’Anouilh qui doit être très intéressante et bien jouée ; la rencontre à la librairie Gallimard avec Michel Butor… Et ce bistrot dont nous a parlé Jean-François Marsat-Subrini, à Montmartre où, tous les premiers jeudis du mois, se rassemblent des poètes pour se lire réciproquement leurs vers ! Je le sais, Catherine, nous ne sommes que des spectateurs, indispensables pour remplir la salle Pleyel ou le bar Miroglio, mais rien que des échos insignifiants vis-à-vis de ce qui se passe devant nous…

Que ferions-nous, d’ailleurs, si on revenait en arrière, au temps des charrettes et des bandits tapis derrière les buissons, prêts à nous empêcher le passage ou la vie ? Je préfère cette anxiété du rattrapage infini… même si je ne sais plus quoi nous devons rattraper. Et j’accepte aussi, stoïquement, ce sentiment de culpabilité qui accompagne toujours les rares moments de béatitude…
Donc, faisons un pacte. On met de côté tous les aspects gênants de la modernité, on décide d’en emprunter que la positivité. Une modernité en rose, voilà. Après, une fois refermé ce chapitre sous une stèle de travertin envahie de fleurs — évitant de se donner une raison précise pour le choix du travertin au lieu de la pierre de Bourgogne —, nous trouverons bien sûr le temps de rattraper l’équilibre perdu…
Revenons alors aux mots clés et aux mots de passe qui peuvent nous aider à entrer et sortir avec un seul déclic de ce monde mort et pourtant vivant, dont on parle depuis quelques jours désormais, qui sont là, dans cette photo et derrière elle…

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Même si personne ne m’oblige de le faire, je veux bien parler de mon grand-père Zvanì, ce monsieur sur le côté droit de la photo dont je connais tout et je ne sais rien, mais aussi de ces gens bien vivants qui l’entourent et de ce monde disparu qu’évoquent ces pauvres meubles et cette lumière à mi-chemin entre le rouge terne et le jaune foncé…
Non, Catherine, je ne veux pas recommencer « da capo », comme aurait fait Louis Buñuel dans « L’Ange exterminateur », où tout s’arrête. Là, les gens ne réussissaient plus à sortir, d’abord d’un grand appartement bourgeois, ensuite d’une église. Ici, ces dix personnages pris au vol dans le flux inconscient de leur rencontre risqueraient de ne plus sortir de cette photo instantanée. Pire que le tombeau. Pire que l’affiche de Che Guevara ou l’icône votive que j’empoche hâtivement lorsque je traverse le parvis de Saint-Laurent. D’ailleurs, je ressentis cette photo comme un tableau vivant et même impatient de dialoguer… Ce n’est donc pas la peine de répéter une sorte de scénario figé dans le temps comme aurait fait Luchino Visconti dans « Le guépard » où même Fellini dans « Amarcord »…
Voilà, j’y suis. J’ai pour toi le premier « mot-clé » qui est aussi un « mot d’ordre ». C’est la « Romagne solatìa », la Romagne ensoleillée.
Cela nous évoque tout de suite, encore une fois, le mot redoutable « tag » (trop ressemblant, hélas, à « goulag ») qui toutefois ouvre aussi la porte au « lien », à la musique d’une image consolatrice :

…Romagne ensoleillée, tendre pays
Où Guidi et Malatesta dominaient
Saisie aussi par le Passeur hardi
Roi de la route, roi de la forêt

(Giovanni Pascoli, Romagna, Myricæ 1891)

Dans le quatrain ci-dessus, à côté de la Romagne « solatìa/ensoleillée », « dolce/tendre », je trouve aussi une autre expression, un peu usée désormais, qui a eu pourtant, pendant plus qu’un siècle, une forte attraction symbolique : c’est le Passator « cortese/courtois » — que j’ai traduit pour exigence de rime « hardi » —, un personnage qui faisait peur dans une période très difficile pour la Romagne, à mi-chemin entre le Sparafucile de Verdi, brigand de route tout à fait isolé et le chef d’une organisation de malfaiteurs à plus vaste rayon. En ajoutant cet adjectif « cortese/courtois/hardi », Pascoli exorcisait les menaces dont le Passatore était porteur, en le peignant comme une espèce de Robin Hood et aussi un masque du folklore local de Romagne.

Cela correspondait aussi à la culture populaire, au « bon sens » paysan, à la « bonhomie » du peuple de cette région toujours destinée à subir des « passages » et des « passeurs ». La boutade, le sobriquet et aussi la cooptation dans la société, au lieu de l’exclusion, ce sont évidemment des formes intelligentes pour récupérer le plus que possible ceux qui traînent dans des situations « borderline » entre le bien et le mal.

De là aussi la grande fortune de Pascoli (comme de Verdi ou Puccini) pour la force symbolique de certaines expressions, devenues d’emblée mots d’ordre aidant à mobiliser une entière société vers un but, un sentiment, une idée partagée.

Peut-être, dans ce pays énormément piégé par la censure, l’obscurantisme et les profondes divisions culturelles et sociales, où jusqu’à la Seconde Guerre les taux d’analphabétisme étaient encore très élevés, la poésie — comme la chanson ou les « arie » de la comédie musicale à l’italienne — avait beaucoup plus de chances que le roman que d’être entendue et propagée à travers des bouches à oreilles tout à fait « unitaires ».

J’approfondirai dans un prochain billet ce thème de l’importance de la poésie dans l’Italie du XIXe et du début de XXe siècle, soit pour comprendre, en ce contexte, la valeur de Pascoli — encore à découvrir et fouiller davantage —, soit pour situer mieux sa poésie dans le panorama européen, en essayant surtout de comprendre les différences et les affinités vis-à-vis de la France.

D’ailleurs, ma chère Catherine, cette Romagne « solatìa/ensoleillée » de Pascoli est le berceau naturel de la « dolce vita » — deuxième mot-clé, qu’on pourrait traduire provisoirement en « tendre vie, fragile et sans souci » — que bien sûr Fellini a fait éclater dans la paresse ministérielle de Rome, mais qui est pourtant une descendante directe de la force évocatrice et symbolique de la plume de ce grand poète :

…si j’étais là-haut garçon
en terre d’autrui, d’un pauvre patron ;
et pourtant je jouissais, au Soleil, à la Lune
de la « tendre vie », dont chacun n’en a qu’une…

(Giovanni Pascoli, Poèmes conviviaux, Les Memnonides, VII, 1904-1905)

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Le troisième mot-clé est « babbo », que dans mon imaginaire je ne pourrai jamais séparer du mot « chapeau », au point que les deux mots, pour moi, partagent le même abri, celui de « babbo au chapeau ».

Je sais que c’est immédiat pour toi, Catherine, de saisir le sens de ces mots. Toi, tu connais l’Italie en profondeur et ne te fais pas embobiner par les infinis clichés qu’on accroche à ce malheureux pays ; des clichés crées par les Italiens en premiers, alimentés aussi avec de trucs et de machins licites ou illicites.

Donc, tu es d’accord, « dolce vita » ne peut pas se traduire « douce vie ». Ce n’est pas exactement le même que « douce France » ! Peut-être, devrait-on essayer avec « moelleuse vie » ou « douillette vie ». Mais, un traducteur honnête en sera toujours insatisfait. Ainsi pour « babbo col cappello », car le mot « babbo » ne ressemble pas trop au mot « papa ». D’ailleurs, même en Italie, une ligne invisible d’incompréhension réciproque sépare ceux qui disent « babbo » (en Émilie-Romagne et en Toscane) de ceux qui disent « papà ».

Je crois qu’en France on a moins de familiarité avec le mot italien « babbo » qu’avec le mot russe « babuska », qui signifie « foulard », mais aussi « vieille paysanne » voire « vieille mère avec le foulard ». Avec tout ce que je viens de dire, cela peut d’ailleurs m’offrir un escamotage : en disant dorénavant « babbo » je pourrai bien évoquer un « papa au chapeau » ainsi qu’en disant tout simplement « Romagne » j’évoquerai une « Romagne toujours ensoleillée ». Quant à la « dolce vita », je garderai dorénavant cette expression, d’ailleurs presque intraduisible, dans sa forme connue et déjà évocatrice de merveilles pour un nombre très élevé de personnes…

Mais, je garde aussi le souffle pour la prochaine lettre !

À très bientôt, mon amie !

Giovanni Merloni

 

La rupture (Portrait d’une table n. 4)

11 mardi Déc 2012

Posted by biscarrosse2012 in mes contes et récits

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portrait d'une table

Image

Rupture. En observant cette nappe jaunie, qui transforme la table de restaurant en catafalque, on pense tout de suite à une rupture. Une sensation d’attente enivre l’air en deçà du parapet orange. Le poteau même de l’illumination urbaine en est concerné, que le peintre pourrait avoir ajouté, dans un souci de modernité, en un remaniement successif à la date de ce « portrait d’une rupture ». On peut aussi imaginer le garçon du bar en train de questionner son patron. Que s’est-il passé ? Pourquoi une seule chaise ? Est-ce qu’il y avait, figée dans l’effort de retenir les larmes, une jolie dame au petit chien ? Maintenant qu’elle a disparu, la mer affiche sa sourde hostilité. À l’en juger du mouvement des petits arbres de l’établissement balnéaire, qui semblent répéter plusieurs fois « non » pour souligner leur irritation, cette rupture touche peut-être des tabous familiaux, des intérêts, des anciennes fêlures qui sont revenues à la surface.

Maintenant que la table est vide, dans l’attente d’un nouveau client, le garçon se demande si c’était le grand poète Giovanni Pascoli l’homme à la silhouette arrondie qui a abandonné brusquement la terrasse.

Nous sommes probablement à Bellaria, une plage proche de San Mauro de Romagna, le pays où Giovanni Pascoli est né en 1855. Le jeune poète, que ses sœurs et les amis de Bologne appellent Zvanì, est en train d’enfoncer ses chaussures noires dans le sable fin tout en essayant d’empêcher le chapeau de s’envoler. Et maintenant, il cause directement avec la mer de Bellaria, qui apparemment, contrariée et nerveuse, ne lui prête pas attention. En même temps, il est occupé par la lecture d’une lettre qu’il vient d’écrire, qu’il livrera ce soir à sa sœur Maria : « Nous sommes tellement lointains ! Et je ne peux donner à mes lettres ni les ailes ni la chaleur de mon affection pour toi, douce sœur. Je ne puis pas attendre non plus, pour celle-ci, l’accueil joyeux que tu auras, magnanime, envers des lettres qui ne viendront pas d’un frère ; pourquoi (laisse moi la chance de faire transparaître un peu de ma douleur au milieu de ta joie), pourquoi, peux-tu m’aimer seulement de la façon dont tu aimes une de tes camarades du collège ? C’est une de mes tristes pensées, durant de jours et de nuits, que ni vos baisers, ni vos paroles ou vos lettres n’ont pas pu détruire en moi ».

Image

Chère Catherine,

Je suis en train de combattre avec les vers de Giovanni Pascoli, très grand poète italien du XIXe, mort en 1912, justement à la veille du dîner de Sogliano dont je suis en train d’esquisser un portrait qui se révèle moins facile que je ne l’avais pu imaginer au début. Je m’efforce de traduire ce poète dans la langue française, mais cela est très difficile, sinon pratiquement impossible. En fait, je voudrais être capable de traduire pour les Français au moins la vie de cet homme aussi intéressant que compliqué, aimé certes par les spécialistes qui se sont aperçus de son extraordinaire modernité, mais peu connu par le grand public. J’aimerais être capable de promouvoir ce « déménagement » qui pourrait aider aussi à la compréhension d’une époque très peu connue de l’Histoire d’Italie. Pour moi, Pascoli s’est soudain révélé mon unique Virgile possible, mon compagnon de route dans cette descente à l’Enfer de mon arbre généalogique. Et cela pour les multiples suggestions qui me procurent sa vision « universelle » et pas du tout « dialectale » de la Romagne et son incroyable affinité, en termes de sensibilité et de vie, avec mon grand-père.

Cette « histoire de Pascoli » m’intrigue aussi pour une autre raison. Si tu te souviens de la nouvelle « L’avalanche » et de son esprit rebelle, là il y avait un couvent de sœurs catholiques renfermées (suore di clausura en italien). Or, en 1882, Pascoli passa dix jours chez une tante à Sogliano sur le Rubicone où il rencontra, pour la première fois depuis neuf ans, ses deux sœurs Ida et Maria qui, après la mort du père (1867) et la décimation de la famille, avaient passé des années dans le couvent de Sogliano dont une certaine Virginia était l’abbesse.

(Dans le récit de la sœur la plus dévouée de Pascoli, Maria, j’ai trouvé deux passages très intéressants sur leur vie dans le couvent. Le même couvent ou X, un de personnages de l’Avalanche se faufila, une nuit…)

Lorsqu’il arrive à Sogliano, Giovanni Pascoli vient d’achever ses études à l’université de Bologne. Il a vingt-sept ans. Son maître, Giosuè Carducci, poète largement reconnu, l’encourage à continuer… Il continuera, bien sûr.  Cependant, l’obsession du souvenir de la mort de son père e la série de disparitions qui s’étaient suivies dans sa famille l’avaient emmené à une grave décision. D’abord rompre avec la « scapigliatura », l’insouciance et la dérive révolutionnaire qu’allait marquer sa vie de « fugitif célibataire » sous l’influence des amis de Bologne ; ensuite se charger du rôle de père pour ceux qui restaient de la famille émiettée. Cela entraîna évidemment la renonce au mariage avec la « dame au petit chien » et l’éloignement de la « vie des autres ». La famille représenta dorénavant un havre de tranquillité pour son travail et sa gloire, mais aussi le contexte privilégié pour un questionnement continu sur le sens de la vie, condition stable pour une souffrance à fleur de peau que le succès ni la gloire ne pouvaient pas soigner. On ne doit donc s’étonner si cette rupture se traduira en abandon des personnages héroïques du Roland furieux pour se transformer en poésie de petites choses.

Trois ans après, en 1885, il donna suite à cette décision cruciale, en emmenant ses deux sœurs dans sa maison de Massa en Toscane et recréant ainsi « le nid » perdu…

Image

En faisant mes recherches, pour être sûr des personnages de la photo, j’ai trouvé une lettre datée 1901, envoyée à mon grand-père à la veille de ses noces. La lettre venait de sa cousine aînée, qui était déjà rentrée dans le couvent où elle serait plus tard devenue l’abbesse avec le nom de… Sœur Virginia !

Moi même, dans les années cinquante et début soixante, j’ai visité, plusieurs fois, ledit couvent avec ma famille. Nous étions tous étourdis et même fascinés par ce monde au-delà de la grille de bois et de la roue pour le passage des dons. Un monde qui nous restait quand même assez étranger. Et j’ai un très doux souvenir de cette femme âgée, toute blanche…

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Photo : Collection Frères Merloni. Reproduction interdite

Revenant à la photo, de gauche à droite je crois maintenant qu’il y a : 1) Maria  la cousine cadette de mon grand-père, âgée de 25 ans ; 2) son mari Claudio, notaire, plus âgé qu’elle ; 3) ma grand-mère Filomena, que tout le monde appelait Mimì…

Tu vois, chère Catherine, la raison de mon retard dans la publication… que ce message actuel pourrait rattraper ! Car, enfin, ce que j’ai réussi à faire sortir, grâce à cette communication directe, vainquant enfin la paresse et la peur du passé, pourrait peut-être se révéler suffisant pour introduire le récit du couvent, avant de l’exploiter jusqu’à son achèvement. « Le souvenir est poésie, et la poésie n’est autre que souvenir » comme dit cet incontournable génie de Romagne.

« Mais, quelle souffrance, cette France ! » (Ça, je ne pourrais pas le tweeter ! Les Français, et surtout les Parisiens, se fâcheraient tout de suite !)

Merci de m’avoir « écouté ».

Giovanni Merloni

écrit ou proposé par : Giovanni Merloni 1ère mise en ligne 11 décembre 2012 Dernière modification 12 décemnbre 2012.

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