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Procida, Bologne, Paris : essayant de prendre le couchant en contrepied…

06 vendredi Oct 2017

Posted by biscarrosse2012 in contes et récits, portraits inconscients

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Bologne, Paris, Procida

Procida, Bologne, Paris : essayant de prendre le couchant en contrepied...

Tout au cours de ma vie, j’ai toujours poursuivi la liberté d’aimer et de m’exprimer jusqu’au bout, ayant le même sentiment qui pousse les humains de mon genre à poursuivre le soleil dans un Ouest éternel, la joie de vivre dans l’éternel féminin.

Procida (avec son soleil) ; Bologne (avec mon premier véritable impact avec le « métier de vivre ») et Paris (avec le défi de m’aventurer dans une nouvelle vie), ce sont trois endroits de primordiale importance pour moi, qui s’inscrivent dans l’état d’esprit d’un élan continu, avec la tension de tout mon être vers un but connu et inconnu à la fois.

Évidemment, il s’agissait pour moi de découvertes plutôt que d’inventions.

Il y avait en moi ce désir inné, que j’avais découvert à Procida, de vaincre la tristesse de la mort et ressusciter la vie, en essayant de prendre le couchant en contrepied.

Il y avait aussi le désir sincère, que l’air même de Bologne communiquait, de partager l’utopie morale des gens forts et civilisés que j’y avais rencontrés. Un rêve de la réalité, se synthétisant en une aspiration pleine de bon sens à conjuguer la Liberté avec le Soleil de l’avenir.

Il y avait, à Paris, des valeurs profondément enracinées où la liberté individuelle ne faisait qu’un avec l’aspiration citoyenne à un progrès humain et humanitaire, démocratique et républicain…

Giovanni Merloni

Si, passant par Terontola, l’on est mordu de la tarentule…

01 mardi Août 2017

Posted by biscarrosse2012 in contes et récits, portraits inconscients

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Bolsena, Florence, Milan, Paris, Perugia, Rome, Terontola, Turin

Si, passant par Terontola, l’on est mordu de la tarentule…

Un voyage décidé à la hâte et sans avoir le temps ni l’envie de suivre un trajet logique et intéressant peut également laisser dans un cœur sensible des traces importantes. Ce que j’ai vécu pourrait me suffire pour un récit romanesque ou pour un essai critique, me donnant la chance de fouiller dans quelques-uns de mes soucis récurrents.
Si je le faisais, vous le sauriez. Entre-temps, je ne veux pas manquer de citer sans trop de détails les principales étapes de cette escapade de fin juillet 2017.

Turin, piazza Vittorio Veneto le 18 juillet au soir

Venant de Paris Gare de Lyon, une étape à Turin est toujours agréable pour moi. Il s’agit encore d’une ville où l’on découvre des échos de l’esprit français. On y retrouve Rue de Rivoli dans les arcades via Roma et, dans l’orgueilleux élan de la Mole Antonelliana,  l’âme de la Tour Eiffel. Pourtant, ce premier soir il fait chaud, les gens s’abandonnent sans bruit aux petits plaisirs des dîners de rue ou à de longues promenades indifférentes au long des berges du Pô tandis que le manque de temps à disposition déclenche en moi un sentiment d’étrange embarras.

Rome, tour de l’Orologio, le 20 juillet

Via dei Banchi Nuovi, à deux pas du Corso Vittorio : je retombe dans un endroit bien connu… et je suis bientôt bouleversé par sa beauté qui monte à la gorge… découvrant en même temps que derrière cette patine de splendeur une nouvelle réalité se cache : ici, rien ne ressemble à la Rome que je respirais avant. On dirait que celle-ci appartient à des gens plus riches et cependant qu’elle devient plus pauvre, s’il n’y avait pas Bruna, mon amie architecte et grande artisane d’objets d’art, une véritable résistante,  capable de dissoudre toute patine d’indifférence par son inimitable sourire.  

Rome, Castel Sant’Angelo, le 20 juillet

Cependant, la Rome touristique m’énerve. En tout cas, j’ai essayé de voir une ressemblance entre le magnifique pont Sant’Angelo et le pont des Arts… Un sentiment à la fois de dépaysement et de nostalgie de ma souplesse perdue m’accompagne chaque fois que je me rends au Louvre, tandis qu’ici, devant le pachyderme débonnaire de la forteresse des Papes, je dois m’arrêter, m’appuyer au parapet pour ne pas succomber aux vertiges du temps qui s’écoule sous mes pieds, avec l’eau trouble et dense de reproches de mon fleuve paternel.

Sant’Apollinare (PG), le 21 juillet

Chez mon frère, dans une austère maison à côté d’une toute petite cité du Moyen Âge, je renoue avec les souvenirs partagés et les discussions animées qui renaissent joyeuses pour nous rassurer. L’important c’est la fidélité à nous-mêmes, ou alors le petit héroïsme en acceptant le vieillissement de nos corps et le rétrécissement de nos horizons sans pourtant trahir nos envies ni les traits caractéristiques de nos physionomies !

Perugia, Palazzo dei Priori, le 22 juillet

En me promenant dans Perugia, cette superbe ville fortifiée de l’Italie centrale, je ne peux pas m’empêcher de songer à une longue liste de villes rivales, plus grandes ou plus petites qu’elle — comme Viterbo et Orvieto, Assisi et Spoleto, Lucca et Siena, San Gimignano et Cortona, Gubbio et Urbino, Spoleto et Todi… — qui en possèdent les couleurs, les odeurs, les toits, les fenêtres, ainsi que l’esprit de lutte acharnée ne faisant qu’un avec une ineffable sagesse…

Lac de Bolsena, le 25 juillet

Deux chers amis de Bologne s’étaient rencontrés — et aimés — la première fois il y a quarante ans déjà… Avec bien de chaleur, pendant trois journées assez pluvieuses et fraîches, ils m’ont accueilli dans un endroit riche de livres et mémoires — une belle maison accoudée sur le lac de Bolsena, le plus grand lac mono-cratère d’origine volcanique d’Europe —, qu’ils sont en train de ressusciter avec le même enthousiasme qui les a amenés à enchevêtrer à nouveau leurs destinées.

Bolsena et son lac, le matin du 27 juillet

C’est dans une grande mélancolie que j’ai quitté Bolsena, la même tristesse éprouvée en me séparant de mon frère et de ma belle sœur de Perugia. La ville lumineuse qui donne son nom au lac m’a salué discrètement et sans entrain : tandis que j’avancerai dans mon existence affolée, elle, Bolsena, se réjouira d’une beauté tranquille sous un soleil imperturbable.

Terontola, le 27 juillet

Puisqu’on était un peu écartés des axes primordiaux qui rapprochent de plus en plus dangereusement les grandes villes italiennes, j’ai dû emprunter un train « normal ». Et voilà l’une de petites gares au nom glorieux qui constellent l’ancien réseau ferroviaire italien : la pacifique Terontola évoquant l’affreuse « tarentule » dont la morsure provoquerait une soudaine, irrépressible agitation. Celle du voyage, dans mon cas.

Florence, le 27 juillet

À Florence, les heures que je m’étais accordées dans l’espoir de combiner affaire et plaisir — c’est-à-dire les exigences alimentaires et la.beauté foudroyante de certaines rues et places — étaient hantées par la présence excessive et déséquilibrée des zones ensoleillées par rapport aux minuscules rectangles d’ombre. Toujours est-il que, malgré la canicule, ma traversée de la place de la Gare en feu, poursuivant au hasard quelque chose qui m’attirait dans le centre, a été primée : j’ai déjeuné à l’ombre d’une grande ombrelle blanche ayant le plaisir d’observer, à chaque gorgée de vin blanc, à chaque coup de fourchette, le spectacle heureux et rafraîchissant de cette élégante façade colorée dessinée par l’un de plus grands architectes et théoriciens de l’art du XVe siècle : Léon Battista Alberti (1404-1472).

Milan, le matin du 28 juillet

Après Florence, je me suis rendu à Milan, où une nouvelle rapatriée m’attendait. Au petit matin, en scrutant l’aube par cette élégante fenêtre, je me suis demandé si je serais plus heureux si j’habitais dans un village où toutes les personnes que j’aime habitaient aussi, et si l’on pouvait se rencontrer les uns les autres tous les jours…

Giovanni Merloni

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Deux mille dix-sept

01 dimanche Jan 2017

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Bologne, France, Italie, Naples, Paris, Rome

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Publié par biscarrosse2012 | Filed under les unes du portrait inconscient

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La valse sans temps (Zazie n. 47)

15 samedi Oct 2016

Posted by biscarrosse2012 in poèmes

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Paris, Zazie

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Giovanni Merloni, La danseuse géométrique, gouache 2016

La valse sans temps

Une lampe en papier huilé
déferle ses rayons hésitants
sur les aquarelles ouatées.

Une caresse transparente
avance, habillée de parchemin
défaisant ta coiffure indolente.

Dans la nuit froide des bibelots
combien de fois m’as-tu fait cadeau
de la chaleur de ton corps libéré ?

Telle une porte ouverte au vent
tu t’es laissée traîner dans la boue
par ton chevalier servant.

Telle une tente ensanglantée
tu t’es laissée bercer sans bouger
par ses rudes mains gelées.

Ce ne fut qu’hier, dans ce froid sidéral
que je n’ai pas reconnu ton corps nu
ni mes baisers éphémères et crus.

Mais déjà, tu reviens, papillon opiniâtre,
t’enlisant dans mes gestes de plâtre
te hissant sur mon île saumâtre.

Une joie déchirante m’envahit
lorsqu’avec toi je roule au bout du lit
lorsqu’avec moi tu glisses dans la rue.

Parmi les chats blessés sans honneurs
et les icônes parsemées de jolies fleurs
nous roulons sans vacarmes, sans odeurs.

Au petit jour se réchauffe ton nez,
grimpent haut les rez-de-chaussée
vers la coupole de carton satiné.

Voilà, nous nous sommes réveillés
épuisés, endoloris, émerveillés
d’être tombés ici, sous le ciel de Paris.

Où étions-nous, au juste
quand tu disais que je m’incrustais,
et que la valse infinie se terminait ?

Paris se moque de nous
ne cessant pas de nous accorder
ce qu’il nous est désormais arrivé.

Giovanni Merloni

paris_chamontin Photo d’Élizabeth Chamontin (@Souris_Verte) que j’ai empruntée
sur Facebook avec son accord.

Good bye, my London Town !

26 dimanche Juin 2016

Posted by biscarrosse2012 in les unes du portrait inconscient

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Alberto Sordi, Angleterre, Charlie Chaplin, Denis Diderot, Engels, France, Freud, Grèce, Jean Jacques Rousseau, Jean-Luc Mélenchon, John Lennon, Londres, Marx, Montaigne, Montesquieu, Paris, Royaune-Uni, virginia woolf, Voltaire, winston churchill

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Good bye, my London Town !

Attristé sinon consterné par cette abrupte fuite « à l’anglaise » d’un des Pays membres de l’Europe, n’étant pas un journaliste crédité, je ne peux que me borner à manifester mes perplexités ne faisant qu’un avec la conviction qu’encore une fois ce ne sont pas les peuples qui trahissent « égoïstement » leurs engagements.
Si l’Angleterre abandonne la barque européenne pour s’éclipser librement dans des océans reculés et lointains, ce n’est pas pour une question d’argent. D’ailleurs, tout en hébergeant soigneusement, à Londres, les nobles dépouilles de Marx et Engels, les Anglais sont les champions et les premières victimes d’un modèle de développement basé sur l’arrogance financière de l’argent, la « dérégulation » des garanties sociales, l’assaut sans scrupules à cette forme de l’État — la même qu’on avait bâtie dans les autres grands pays d’Europe et notamment en France — ayant réussi pendant des siècles à contenir le pouvoir excessif du capitalisme.
D’ailleurs, l’Angleterre n’a jamais voulu adhérer à la monnaie européenne. Donc, je ne trouve pas trop convaincant ce qu’affirme par exemple Jean-Luc Mélenchon, selon lequel l’Angleterre quitterait « l’Europe des riches ». Ou alors, ce qu’on dit ailleurs, à propos d’une Angleterre qui se sauverait en « corner » devant une Europe étranglée par les sacrifices de la monnaie unique et les attaques des oligarchies économiques mondiales qui voudraient l’écraser avant de la soumettre à une sorte de dictature dévastatrice.
Les hommes peuvent bien se tromper et devenir assez dangereux les uns envers les autres. Mais je suis sûr et certain que l’Angleterre — pour une différence de votes qui n’est pas énorme — a cédé à l’illusion de se soustraire à ce grand phénomène migratoire mondial que des actes de terrorisme ou de guerre accompagnent, touchant de préférence l’Europe, devenue de plus en plus la cible d’une attaque diabolique et perverse.
Je veux croire pourtant que les Anglais se sont trompés et qu’ils reviendront assez vite à l’Union européenne… Entre-temps, je songe à John Lennon ou à Winston Churchill, à Charlie Chaplin comme à Virginia Woolf. Auraient-ils été d’accord avec une telle reculade ? Et les survivants sont-ils en mesure d’évaluer la gravité de ce « choix » ?

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Alberto Sordi dans le film « Fumo di Londra » (1966)

Il y a juste dix ans, j’avais quitté Rome partant à Paris pour y continuer ma vie et mes activités. Cela arrivait — je m’en rends compte dans un sursaut — dans une époque encore optimiste, où l’idée fabuleuse de pouvoir circuler librement en Europe se mariait à l’espoir d’un rapprochement et d’une aide réciproque entre les pays de ce noble continent, dans le but commun de surmonter les diversités et avancer vers un monde meilleur.
Certes, le souvenir personnel d’un déplacement « privilégié » de l’Italie à la France pourrait paraître fort décalé vis-à-vis de ce qui arrive aujourd’hui, avec tous ces gens forcés à partir en masse en conditions dramatiques et parfois inhumaines, quittant leur pays en détresse ou en guerre dans le seul espoir de franchir une porte de plus en plus étroite, avant de trouver en Europe un accueil humain, un abri protégé qui ne sont pas toujours assurés.
Je n’ai pas traversé la mer sur un radeau de fortune. Je suis venu en France en deux heures de vol, certes avec les inévitables difficultés accompagnant tout déplacement, vivement soutenu, en tout cas, par un élan idéal, poussé par l’admiration d’un peuple et sa culture. Cependant, cette admiration pour l’une des villes les plus civilisées au monde, Paris, et mon désir de m’y installer, n’aurait pas pu se séparer de l’orgueil d’appartenir à un monde aux racines communes — l’Europe — ayant finalement compris que notre millénaire culture nous aiderait à nous intégrer réciproquement au fur et à mesure de l’évolution d’une conscience européenne partagée par tous les habitants de l’Europe même. 
Si la Grèce a été le berceau de la démocratie et de la libre pensée pour tous les hommes ; si l’Italie de la Renaissance a été justement un phare pour la constitution de l’identité européenne, Paris et la France représentent le centre propulseur et protecteur de cette identité même. Pas seulement parce qu’en France il y a eu une Révolution républicaine traînée par des figures incommensurables comme Voltaire et Rousseau, Montaigne et Montesquieu… L’histoire de la France, en originale continuité avec la longue et glorieuse parabole de la civilisation romaine, représente un exemple vivant de ce que les hommes peuvent faire au plus haut degré, puisant dans leurs immenses ressources d’intelligence et d’humanité.
L’histoire de l’Angleterre n’est pas trop différente, enchevêtrée comme elle l’est avec l’histoire d’Europe. Entre les villes de Londres et Paris — géographiquement si proches ; caractérisées par le même procès de croissance et de transformation au fil des siècles —, on constate toujours une rivalité positive, une concurrence à l’enseigne de la culture et de l’ouverture vers une civilisation de plus en plus accessible et partagée. Il n’y a pas eu que les guerres mondiales et l’Alliance atlantique qui ont fait de l’Angleterre l’un des premiers pays de l’Europe. Il y a aussi eu cette confrontation pacifique entre Londres et Paris, sans doute les plus grandes capitales d’Europe.
Pour un « provincial », comme moi, venant d’un pays historiquement divisé et donc incapable de se donner une vraie capitale, Londres et Paris ont été mes deux primordiaux repères psychologiques et culturels. « Que préférez-vous, Paris ou Londres ? » Voilà la question la plus récurrente chez nous…
Moi, je préfère Paris, mais j’ai bien aimé Londres, découvrant notamment dans la littérature anglaise un souffle d’excentricité qu’aucune culture ne possède au même niveau. Une excentricité dont l’Europe des voyageurs et des lecteurs a toujours besoin, se traduisant en fait en une différence parfois subtile, comme la « fumée de Londres » qui hante ses rues et qu’on appelle « smog »…
De cette fumée jaillit, pour moi, le souvenir d’un film avec Alberto Sordi. Ici, cet « insupportable enthousiaste » de tout ce qui est anglais ne sait pas comment se comporter dans une ville, Londres, beaucoup moins accueillante qu’il ne le supposait. Et, au bout de vicissitudes paradoxales, quand il est finalement « chassé » du Royaume-Uni et déposé sur la passerelle d’un avion, en regardant extasié dans le brouillard il s’exclame : « Good bye, my London Town ! »

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Les pays sont des personnes. Chaque pays a sa personnalité, donc ses mérites et ses défauts ainsi que ses hauts et ses bas, ses forces et ses faiblesses. L’Italie comme la France, la France comme la Grèce ou l’Angleterre. Chaque pays, comme toute personne, est soumis au risque de régresser, ou d’avancer en arrière comme les écrevisses, glissant dans une lente ou rapide décadence… Chaque pays a toujours besoin d’un chef de famille illuminé et responsable qui ait au moment donné la présence d’esprit nécessaire pour réagir aux maux de l’égoïsme et de l’impatience sauvage. Il ne faut pas être paresseux vis-à-vis de ce qui peut nous arriver.
Car il n’y a pas de raccourcis pour sauver le monde. Il n’y a qu’à se battre pour que notre univers reste en équilibre, pour que nos frères ou cousins plus démunis ne régressent pas et que nos cousins ou frères plus riches n’imposent pas des modèles et des lois injustes et destructives…

Être européens, ça veut dire :
Comprendre la différence entre les pays et les personnes sans que cela nous écrase ni ne nous rende sceptiques et indifférents.
Aimer jusqu’au bout ces pays qui souffrent d’assauts insupportables, où l’esprit de mort et la violence obtuse se mêlent toujours aux projets obscurs des oligarchies du pouvoir.
Défendre nos cultures universelles, les soustraire à l’oubli et à la mise aux marges pour les donner au monde : nous avons encore énormément à apprendre de Marx et de Freud, comme de Rousseau et Diderot !
Savoir dire de façon appropriée le mot amour, le mot amitié, le mot échange, le mot partage, le mot Europe, le mot Italie, Grèce, France, Angleterre, mer, montagnes, peuples frères, humanité !

Giovanni Merloni

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